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Le cinéaste de « 120 Battements par minute » revient (en partie) sur son enfance dans un film qui se déroule au début des années 1970 à Madagascar, île fraîchement indépendante mais marquée par les derniers soubresauts du colonialisme. Entretien.
Le rouge est mis, à Madagascar, dans les années 1970. L’indépendance a été proclamée depuis une dizaine d’années, mais l’armée française est toujours présente. L’endroit semble saisi d’une somnolence qui présage les grandes tempêtes. Cinéaste exigeant, entièrement absorbé par les sujets qui frôlent sa vie et qui ont une résonance sociale, Robin Campillo, natif du Maroc et formé à l’Institut des Hautes Etudes cinématographiques (Idhec, aujourd’hui intégré à la Fémis), a signé des films récompensés dans les festivals – Venise (« Eastern Boys »), Cannes (« 120 Battements par minute »), Cabourg, Thessalonique, Toronto… A 60 ans, il se penche (en partie) sur son passé dans « l’Ile rouge », qui sort en salle ce mercredi 31 mai : ce petit garçon qui observe la société des adultes à Tananarive, en se déguisant en héroïne de télé, est – et n’est pas – le double de l’auteur.
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