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Aïd al-Adha au Maroc, les marchés de vente de bétail pris d'assaut – Arabnews fr

https://arab.news/8ncqz
CASABLANCA: À l’approche de l’Aïd al-Adha, les marchés de vente de bétail sont pris d’assaut au Maroc. En faisant un tour dans deux des principaux souks de la métropole casablancaise, Arab News en français a certes constaté une abondance de l’offre, mais à des prix qui ont atteint des sommets. Beaucoup de Marocains nous ont d’ailleurs exprimé leur déception et leur mécontentement face à cette flambée des prix.
«Les prix des moutons étaient déjà élevés l’année dernière. Cette hausse se poursuit cette année, avec des augmentations qui ont atteint parfois près de 50%», nous déclare un acheteur venu dénicher la bonne affaire. La hausse a été comprise entre 15 et 20% en moyenne et peut même atteindre 30 à 50% dans certains marchés.
Alors que le prix du kilo se négociait aux alentours de 45 et 50 dirhams marocains (DH), il a flambé cette année avec près de 60 DH; il faut compter 3 000 DH au minimum pour acquérir un mouton de 50 kilos. Il est donc difficile donc pour les Marocains, dont beaucoup touchent le Smig – soit moins de 200 dirhams du prix du mouton le moins cher –, d’acquérir une bête sans se ruiner. Pour les familles nombreuses, la hausse est plus prononcée encore, puisque les moutons de plus grande taille se négocient actuellement à partir de 5 000 DH et peuvent atteindre 7 500 DH.
Cette situation inédite est due à deux principaux facteurs, nous expliquent les professionnels. Le premier est lié à la sécheresse qui s’est abattue sur le Royaume ces dernières années et qui semble s’inscrire dans la durée, en plus d’un stress hydrique aigu. Le second réside dans l’augmentation des prix des aliments de bétail. L’inflation des prix à la pompe, induisant une hausse des prix de transport, figure aussi parmi les facteurs qui ont causé la flambée des prix dans les marchés.
Le ministère de l’Agriculture a récemment annoncé que l’offre a atteint 7,8 millions de têtes, «une offre qui couvre largement la demande, prévue cette année à environ 5,6 millions de têtes», a-t-il précisé.
Pourtant, le gouvernement a initié plusieurs mesures pour atténuer cette hausse, notamment en encourageant l’importation de moutons, particulièrement de l’Espagne et en exonérant de droits de douane (qui correspondent à 500 DH par tête) l’importation d’ovins destinés à l’abattage. L’objectif de cette opération était de préserver le cheptel national et de stabiliser les prix. Si l’offre a été au rendez-vous, les prix, eux, n’ont pas été maîtrisés.
Le ministère de l’Agriculture a récemment annoncé que l’offre a atteint 7,8 millions de têtes, «une offre qui couvre largement la demande, prévue cette année à environ 5,6 millions de têtes», a-t-il précisé.
Entre ceux qui ont puisé dans leurs économies et ceux qui attendent les derniers jours dans l’espoir d’une baisse des prix, de nombreux Marocains ont choisi une autre option. Coïncidant avec la saison estivale et les vacances scolaires, la fête de l’Aïd al-Adha a été, en effet, propice aux hôteliers qui proposent plusieurs offres alléchantes à ceux qui veulent profiter de cette période et associer les festivités religieuses à des moments de détente en famille.
À Marrakech, par exemple, la concurrence fait rage entre les hôtels qui ont concocté des offres qui allient l’Aïd al-Adha aux autres activités de divertissement offertes par l’établissement. En plus de l’hébergement, ils proposent des services d’abattage, de nettoyage et de préparation des plats aux convives, en plus de soirées animées à l’occasion de ces festivités.
https://arab.news/5sdm9
RAMALLAH: Tout colonialisme de peuplement dans les territoires palestiniens occupés est illégitime et illégal, déclarent lundi des responsables palestiniens.
La colère et la frustration ont augmenté devant l’appel du Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahou, pour empêcher la création d’un État palestinien.
M. Netanyahou aurait déclaré lors d’une réunion à huis clos de la commission des affaires étrangères et de la défense de la Knesset qu’Israël devait mettre fin aux aspirations des Palestiniens à un État indépendant. «Nous nous préparons à l’ère qui suivra celle du président palestinien, Mahmoud Abbas».
Nabil Abu Rudeineh, le porte-parole officiel de la présidence palestinienne, soutient que l’établissement d’un État indépendant avec Jérusalem-Est pour capitale est la seule solution pour parvenir à la sécurité et à la stabilité.
Il ajoute que l’État palestinien existait, qu’il était reconnu par plus de 140 pays et n’attendait que la fin de l’occupation pour incarner son indépendance.
Les déclarations de Benjamin Netanyahou montrent au monde les véritables intentions d’Israël, qui rejettent la légitimité comme le droit international. Elles prouvent qu’aucun partenaire israélien ne voulait parvenir à une paix basée sur la légitimité internationale, poursuit M. Abu Rudeineh.
Les Palestiniens cherchent à établir un État indépendant en Cisjordanie et dans la bande de Gaza avec Jérusalem-Est pour capitale.
Le ministère palestinien des Affaires étrangères décrit les déclarations de Benjamin Netanyahou comme une reconnaissance officielle de la politique hostile du gouvernement israélien envers la paix et le rejet des résolutions liées à la légitimité internationale et à la mise en œuvre du principe de la solution à deux États.
Les propos rapportés confirment une fois de plus l’absence d’un partenaire de paix au sein du régime israélien, poursuit-il.
Le ministère met en lumière le sabotage délibéré par Israël de tous les accords, ententes et efforts régionaux, internationaux et américains pour restaurer l’horizon politique de résolution du conflit.
Il note que le refus du Premier ministre d’établir un État palestinien indépendant était l’explication politique des violations de l’armée d’occupation, des milices de colons, des terroristes et de leurs crimes contre les citoyens palestiniens, leurs terres, leurs propriétés, leurs maisons, leurs récoltes et leurs lieux sacrés dans tous les territoires occupés, y compris Jérusalem-Est.
Le ministère ajoute que la position de Benjamin Netanyahou encourage «les terroristes à voler davantage de terres palestiniennes, à renforcer les colonies et à mettre en place plus d’avant-postes aléatoires pour saper toute possibilité d’établir un État palestinien indépendant».
Il appelle l’administration américaine à prendre «très au sérieux» la position anti-paix du Premier ministre israélien et à appliquer les sanctions, pressions et mesures nécessaires pour préserver la possibilité de mettre en œuvre le principe de la solution à deux États.
Nasser al-Kidwa, un ancien représentant de la Palestine à l’ONU, déclare à Arab News que le gouvernement israélien ne cherche pas de solution et «conduirait la région en enfer».
«Ni Benjamin Netanyahou, ni la droite israélienne, ni aucune puissance au monde ne peut refuser aux Palestiniens le droit à un État indépendant», insiste-t-il.
L’analyste politique palestinien Ghassan al-Khatib déclare à Arab News que, pour la première fois, les paroles du Premier ministre sont cohérentes avec ses actions et son comportement, puisqu’il rejette toute possibilité de création d’un État palestinien.
«Aujourd’hui, il met l’accent sur sa politique d’extrême droite, qui refuse d’abandonner le contrôle israélien de toute partie des territoires palestiniens», indique-t-il.
La position de Benjamin Netanyahou a créé une «nouvelle réalité» pour les Palestiniens et la communauté internationale, ajoute M. Al-Khatib.
«Ce qui est important, c’est la position qu’adoptera la communauté internationale à ce sujet.»
Le Hamas s’est joint à la condamnation de la déclaration du Premier ministre, réaffirmant sa position selon laquelle l’occupation israélienne est basée sur le génocide, le nettoyage ethnique et le colonialisme.
«De tels propos obligent l’Autorité palestinienne et l’Organisation de libération de la Palestine à reconsidérer toute voie de compromis ainsi que leurs négociations infructueuses avec les autorités d’occupation israéliennes et à mettre fin à toute collaboration en matière de sécurité», soutient-il.
Toutes les formes de normalisation ont encouragé les autorités israéliennes à commettre de nouvelles atrocités, précise-t-il.
«Nous appelons la communauté internationale, les Nations unies et l’Organisation de la coopération islamique à condamner de telles positions, puisqu’elles violent les droits humains les plus élémentaires et toutes les résolutions pertinentes, en plus de menacer la paix et la sécurité dans la région.»
Les responsables palestiniens sont également frustrés en raison des déclarations de Ron DeSantis, gouverneur républicain de Floride et candidat à la présidentielle américaine, selon lesquelles la Cisjordanie «n’est pas un territoire occupé, mais appartient plutôt aux Juifs, selon la Torah».
M. Al-Kidwa déclare à Arab News que la position du gouverneur est «immorale, niant les droits inaliénables du peuple palestinien et son existence nationale, violant un système de lois internationales qui reconnaît le droit du peuple palestinien à un État indépendant et encourageant les extrémistes israéliens des groupes à refuser aux Palestiniens leurs droits».
Il décrit M. DeSantis comme «un opportuniste».
Entre-temps, à la veille de l’Aïd al-Adha, les autorités militaires israéliennes ont lancé une campagne d’arrestations en Cisjordanie. Elles sont entrées par effraction chez des détenus et d’anciens prisonniers dans plusieurs villes et différents quartiers de Jérusalem.
Amjad Abu Asab, chef du Comité pour les familles des prisonniers de Jérusalem, affirme que les forces de sécurité israéliennes se concentrent sur les zones de Silwan, d’Al-Issawiya, de Jabal al-Mukaber, d’Al-Sawwana, d’Al-Tur, de la Vieille Ville et de Beit Hanina.
Après avoir fouillé et détruit des maisons et leur contenu, les militaires ont confisqué l’argent et les véhicules, explique-t-il.
Les forces de sécurité israéliennes ont également remis un avis aux prisonniers libérés après avoir saisi leur argent, dont la valeur s’élève à des centaines de milliers d’euros. On peut y lire: «L’argent que les prisonniers reçoivent de l’Autorité palestinienne est considéré comme un salaire et une récompense pour avoir commis des opérations terroristes; par ailleurs, il encourage le terrorisme.»
Les autorités israéliennes ont lancé une campagne pour saisir les fonds des prisonniers de Jérusalem en 2020.
Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com
https://arab.news/9jva6
WAD MADANI: Tous les ans, les Soudanais ont pour habitude d’acheter un mouton à l’approche de l’Aïd al- Adha, la grande fête musulmane du sacrifice. Mais cette année, la fête sera “triste” et “misérable” pour nombre d’entre eux, déplacés par la guerre et sans salaire.
Hanane Adam a fui les combats qui font rage à Khartoum depuis le 15 avril. Elle passera l’Aïd avec ses six enfants dans un campement de fortune pour déplacés à Al-Hassaheissa, à 120 kilomètres au sud de la capitale.
Il ne se passe pas un instant sans que ses enfants âgés de deux à 15 ans ne lui réclament “de rentrer à la maison”, raconte-t-elle à l’AFP. “Dans ces conditions, l’Aïd sera triste”, se lamente cette femme au foyer.
L’Aïd al-Adha est la plus grande fête du calendrier musulman, au cours de laquelle les fidèles doivent sacrifier un animal à la mémoire d’Abraham qui, selon la tradition, avait immolé un mouton in extremis à la place de son fils Ismaïl.
Mawaheb Omar, elle, a tenu à rester dans sa maison de Khartoum avec ses quatre enfants, pour une fête qui s’annonce “misérable et sans saveur: on ne peut même pas acheter de mouton”.
«Rêve inatteignable»
Depuis le quartier de Chambat à Khartoum, où il réside avec ses trois enfants, Omar Ibrahim s’interroge: “les canons vont-ils se taire pour l’Aïd?”.
Avec les combats incessants entre l’armée dirigée par le général Abdel Fattah al-Burhane et les paramilitaires du général Mohamed Hamdane Daglo, “les rituels de l’Aïd sont devenus un rêve inatteignable”, assure-t-il à l’AFP.
Si la guerre a commencé à Khartoum, elle ravage désormais les Etat régionaux qui sont les principaux pourvoyeurs de bétail: le Darfour et le Kordofan, dans le sud et l’ouest du pays, déjà l’un des plus pauvres au monde avant la guerre.
Mohammed Babiker, marchand de bestiaux à Wad Madani, à 200 kilomètres au sud de la capitale, s’y fournissait chaque année.
Mais cette fois-ci, “les éleveurs ne peuvent plus acheminer leur bétail juqu’ici”, explique-t-il à l’AFP, entouré malgré tout d’une poignée de moutons sur une des rues principales de Wad Madani.
Othmane Moubarak a lui aussi réussi à glaner un petit cheptel, mais à Khartoum, cette année, il n’a “rien vendu”.
“La fête du sacrifice est la période de l’année où nous faisons le plus de ventes mais cette fois mes collègues et moi sommes au chômage forcé”, déplore-t-il.
«Sans salaire depuis trois mois»
Sur le marché de Wad Hamed, à 150 kilomètres de Khartoum dans le Nord épargné par la guerre, Abdallah al-Nemir a lui aussi réussi à rassembler un troupeau.
“On a des moutons à vendre mais les gens n’ont pas d’argent, on ne fait pas de ventes, les gens n’ont plus de revenus à cause de la guerre”, lâche-t-il.
Les déplacés venus en masse de Khartoum n’ont plus touché un salaire depuis avril: les banques sont à l’arrêt et même l’Etat a mis tous ses fonctionnaires au chômage technique jusqu’à nouvel ordre.
“La guerre les a affectés, ils n’ont pas reçu leurs salaires et ne les recevront pas avant un moment (…), la situation est difficile et le pouvoir d’achat faible”, souffle Moawiya Mohammed, un marchand lui aussi désœuvré.
Pour réussir à boucler quelques ventes dans un pays où 65% de la population vivaient déjà sous le seuil de pauvreté avant la guerre, les commerçants ont dû baisser leurs prix, rapporte M. Babiker.
Un mouton s’échange cette année entre l’équivalent de 160 à 220 euros, contre environ 270 euros pour les plus gros l’an passé.
Imad Mahieddine, fonctionnaire, traverse sans broncher le marché aux bestiaux de Wad Madani.
“Simple coïncidence” dit-il, car “sans salaire depuis trois mois, (il) n’achètera pas de mouton cette année”.
https://arab.news/2k95t
RIYAD: Le prince héritier, Mohammed ben Salmane, a discuté de certaines des premières idées concernant la conception de The Line, la mégapole futuriste de l’Arabie saoudite, évoquant également la signification du projet pour le Royaume et le monde.
Cette ville moderne et ambitieuse fait partie du projet de développement phare de l’Arabie saoudite, Neom, au nord du Royaume. Elle réinvente ce que devrait être la vie urbaine au XXIe siècle.
Le Royaume veut créer une nouvelle civilisation pour l’avenir et exhorte les pays à agir de la même manière pour construire une planète meilleure, déclare le prince héritier dans un entretien, diffusé lundi sur Discovery Channel.
Dans ce documentaire, il explique comment l’idée de conception de The Line est née et ce que cela signifie pour l’Arabie saoudite.
«Puisque nous disposons d’un espace vide et que nous voulons avoir de la place pour dix millions de personnes, partons de zéro», soutient le prince héritier.
«Nous avons évoqué énormément d’idées, comme celle de construire un cercle par exemple, rappelant les premières étapes du processus de conception de la ville. Nous pouvions le connecter à la circulation et le construire progressivement jusqu’à ce qu’il soit en mesure d’accueillir dix millions de personnes», ajoute le prince héritier.
Après un brainstorming et un concours qui a rassemblé les meilleurs concepteurs pour proposer des idées sur l’apparence de la ville, une option de conception s’est démarquée.
«Ils nous ont fourni des idées de villes basées sur les méthodes existantes, mais avec de meilleures solutions», précise-t-il. Une seule personne a cependant demandé: «Pourquoi ne pas passer d’un cercle à une ligne?»
À partir de là, le prince héritier a proposé une modification qui a permis d’établir l’aspect emblématique de The Line.
«L’idée de l’infrastructure est bonne, mais lorsqu’on s’y engage, avec une largeur de 2 km, on ne la sent pas», indique-t-il. «J’ai dit à l’équipe: “Et si nous prenions ces 2 km et que nous les inversions pour qu’il y ait deux tours sur toute la ligne, est-ce que cela va fonctionner ou est-ce que ce sera trop massif?”»
Résultat: un modèle de conception urbaine long de 170 kilomètres et large de 200 mètres qui fonctionnera à 100% grâce à l’énergie renouvelable, avec 95% de nature préservée et au sein duquel il n’y aura pas de voitures.
L’apparence de la ville a été dévoilée par le prince héritier en 2022, qui a expliqué que la conception clarifierait la structure interne de la ville à plusieurs niveaux et résoudrait les problèmes des villes horizontales traditionnelles.
Le prince héritier affirme que la population saoudienne devrait être comprise entre 50 et 55 millions en 2030, contre 33 millions actuellement. «En 2030, nous atteindrons la pleine capacité des infrastructures existantes en Arabie saoudite», note-t-il, ce qui a rendu nécessaire la création de cette nouvelle ville.
«The Line s’attaquera aux défis auxquels l’humanité est confrontée dans la vie urbaine d’aujourd’hui et mettra en lumière des modes de vie alternatifs». Ces propos du prince Mohammed sont mentionnés sur le site officiel du projet. «Nous ne pouvons pas ignorer les crises qui pèsent sur la qualité de vie et l’environnement dans les villes à travers le monde.»
«Toute nouvelle ville devra être construite du haut vers le bas.» Les villes existantes, souligne-t-il, ont toutes subi une restructuration basée sur un modèle constant de problème-solution, mais une solution descendante facilite la construction d’un projet tel que The Line.
Selon le prince Mohammed, il ne suffit pas que la création de la ville futuriste soit possible d’un point de vue technique. Elle doit également être belle.
«L’ingénierie et la conception ne suffisent pas sans l’art», précise-t-il. «Nous ne voulons pas créer une ville sans que toute la ville soit semblable à une œuvre d’art.»
Le prince héritier affirme que le projet est de grande envergure et remplit ses objectifs financiers et autres.
«C’est vraiment énorme», insiste-t-il, ajoutant qu’il aimerait pouvoir l’expliquer de manière plus simple. «Le projet laisse place à une nouvelle façon de construire.»
Le prince héritier indique que l’équilibre entre la vie professionnelle et la vie sociale à Miami est exaltant pour les habitants. The Line vise à surpasser ce type d’offre.
«À Miami, lorsque vous sortez du bureau, vous êtes en vacances – le divertissement, la culture, le sport et le commerce sont tout près de vous», renchérit-il. «Nous sommes en concurrence avec Miami.»
Les habitants de The Line n’auront qu’à marcher cinq minutes pour atteindre toutes les installations. Par ailleurs, le train à grande vitesse assurera un transit de bout en bout en vingt minutes.
Nadhmi al-Nasr, PDG de Neom, précise que les travaux progressent dans la ville futuriste conformément au calendrier.
Peter Fitzhardinge, responsable du marketing touristique chez Neom, déclare à Arab News: «Le développement est en cours. Neom devient réalité. Je vis à Neom et je vois des évolutions à chaque instant. Vous devez venir à Neom pour saisir l’avenir de l’habitabilité à travers le monde.»
À ceux qui continuent de dire que les mégaprojets actuels en Arabie saoudite sont trop ambitieux et irréalisables, le prince héritier déclare: «Ils peuvent continuer à le répéter et nous pouvons continuer à leur prouver qu’ils ont tort».
«Je peux vous promettre qu’il y aura de la nouveauté et de la créativité à Neom. De quoi s’agit-il? Vous le verrez bien!»
Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com

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