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Errare humanum est, sed perseverare diabolicum – Barlamane – Barlamane

Barlamane
Comme s’y attendait l’opinion publique, l’Association marocaine des droits de l’homme (AMDH), dans son rapport au titre de l’année 2022, a fait feu de tout bois pour assouvir la haine qu’elle nourrit contre l’État marocain. Elle fait siennes toutes les allégations tendancieuses colportées par des ONG internationales qui, pour honorer leurs douteux engagements envers leurs bailleurs de fonds, travaillent à donner une image sombre de la situation des droits de l’homme au Maroc. C’est ce qui explique, d’ailleurs, le fait qu’elle le fait aveuglément et sans le moindre recul, quitte à inclure dans ses rapports des données complétement biaisées sur nombre de points.
D’abord, elle met à l’index la justice marocaine en faisant comprendre à l’opinion publique que certains détenus de droit commun, qui ont été poursuivis et condamnés pour des chefs d’accusation moralement lourds qu’ils n’ont pas pu réfuter malgré les garanties de procès équitable dont ils ont bénéficié au même titre que l’ensemble des justiciables et en dépit des moyens de défense massifs qu’ils se sont donné, l’ont été pour des raisons plutôt politiques et que leur condamnation constitue une violation de la liberté d’expression. Cela ne trompe plus personne, sa méfiance à l’égard de la justice marocaine, loin d’être paranoïaque, est manifestement intéressée. Sa moralité est d’autant plus entamée qu’elle a tourné le dos aux victimes de ces détenus avec un cynisme décomplexé pour ne pas dire serein.
Comble d’immoralité, le rapport a été jusqu’à considérer les détenus qui ont été condamnés en rapport avec les évènements de Gdim Izig comme des détenus politiques alors que ses rédacteurs savent pertinemment qu’ils ont été poursuivis et condamnés pour des crimes abjects, notamment l’assassinat d’éléments des forces de l’ordre et la profanation de leurs cadavres.

Ensuite, le rapport reproche à la Délégation générale à l’administration pénitentiaire et à la réinsertion (DGAPR) et la Direction générale de la sûreté nationale (DGSN) de rendre publics des communiqués de presse concernant des doléances et des allégations de mauvais traitement ou autres sans se donner la peine d’ouvrir d’enquête à leur sujet, alors que dans leur stratégie de communication institutionnelle, et mues qu’elles sont par une volonté d’ouverture et de transparence, ces deux institutions tiennent à éclairer l’opinion publique sur la vérité de tous les cas concrets posés, en lui fournissant tous les détails nécessaires et suffisants.
En conclusion, en ressassant des rengaines éculées sur la situation des droits de l’homme au Maroc et en diffusant des allégations infondées en réalité, l’AMDH ne fait qu’assurer l’opinion publique du fait avéré qu’en persévérant obstinément dans l’erreur, elle ne fait en vérité que précipiter son dépôt de bilan moral.
En raison inverse, l’autorité morale du Royaume s’en trouve bien confortée.
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