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Le réalisateur Michael Bay optimiste quant à l'avenir du cinéma … – Arabnews fr

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RIYAD: Le célèbre réalisateur et producteur américain Michael Bay, connu pour la franchise «Transformers», est optimiste quant à l’avenir des industries du film et du jeu en Arabie saoudite.
Dans une interview accordée à Arab News lors du Next World Forum de Riyad, le plus grand rassemblement mondial d’experts et d’influenceurs dans le domaine de l’esport et du jeu vidéo, Bay a indiqué qu’il envisageait également de tourner un film à AlUla, et que des «discussions» à ce sujet étaient en cours.
Connu pour ses productions stylisées, à fort concept et ses succès au box-office, il a apparemment contribué à jeter les bases de l’industrie cinématographique saoudienne. Bay a souligné que c’est le prince héritier, Mohammed ben Salmane, lors d’une visite à Hollywood il y a quelques années, qui lui avait demandé : «Comment puis-je attirer des tournages de films dans mon pays ?»
C’était avant que l’Arabie saoudite n’ouvre des salles de cinéma en 2018.
Bay a signalé : «J’ai tourné dans le monde entier. J’ai beaucoup tourné au Moyen-Orient et l’une des choses à faire pour obtenir un grand film comme le mien, d’une valeur de quelques centaines de millions de dollars (1 dollar américain = 0,92 euro), c’est de disposer d’une infrastructure  adaptée. J’aime aller dans des endroits où je n’ai jamais tourné auparavant.»
«J’ai dit au prince héritier de porter son abattement fiscal à 40%, le plus élevé au monde, parce qu’il faut attirer les gens. Ironiquement, j’avais fait des repérages dans le désert d’Al-Ula probablement dix ans plus tôt, car nous faisons des repérages par satellite. C’est un désert qui n’a pas été touché. J’ai tourné au Wadi Rum, en Jordanie, qui est relié à AlUla
En fait, l’industrie cinématographique continue de prospérer en Arabie saoudite et son programme d’incitation offre aux productions locales et internationales des réductions pouvant aller jusqu’à 40%.
Bay a reçu le Prix d’excellence pour l’ensemble des réalisations (Lifetime Achievement Award) lors de la cérémonie phare des Joy Awards en Arabie saoudite en 2022. Lors de sa première visite dans le Royaume, il a été emmené dans tout le pays et présenté à diverses communautés d’artistes.
«J’ai été fasciné par le nombre de jeunes qui vivent ici. Et ce qui me fascine vraiment, c’est la rapidité avec laquelle cet endroit se développe. Le monde extérieur ne le sait pas. Ils ne le savent pas du tout jusqu’à ce que vous soyez ici», a-t-il précisé. 
«J’ai passé environ une semaine ici. Ils m’ont fait visiter ces magnifiques nouvelles installations cinématographiques, les scènes de tournage… et le site de Neom, qui est une réalisation humaine extraordinaire», a-t-il ajouté.
Jeunesse à l’honneur
Michael Bay a participé cette semaine à une table ronde du Next World Forum aux côtés de l’homme d’affaires et personnalité publique Gary Vaynerchuk et du footballeur professionnel Gareth Bale, intitulée «High Score: When Celebrities Enter the Gaming Industry» («Score élevé : Quand les célébrités entrent dans l’industrie du jeu»).
«J’ai été invité à revenir sur ce forum parce que j’ai écrit un jeu vidéo il y a environ dix-sept ans, et nous sommes sur le point de le vendre. Nous avons fait nos tests pour le réaliser. De nombreux grands joueurs étaient intéressés par son achat. Mais je me suis retenu de le vendre parce que je savais qu’il y avait de grands joueurs ici et je sais qu’ils veulent investir dans tous les types d’art, d’architecture et de technologie. C’est pourquoi je suis ravi d’être de retour ici», a-t-il déclaré à Arab News.
Bay a indiqué qu’il n’avait pas toujours eu les meilleures relations avec l’industrie du jeu vidéo. Il a affirmé qu’au début de sa carrière, une scène d’attaque dans Pearl Harbor, un film qu’il a réalisé, a été «copiée» par des développeurs de jeux vidéo sans lui en attribuer le mérite.
Pour récupérer les dix-huit mois que son équipe a consacrés à la création du film, Bay a décidé de concevoir son propre jeu. Quinze ans plus tard, «c’est maintenant une idée de film et un jeu». Selon lui, la clé pour créer un divertissement vidéo unique est d’avoir un réalisateur intéressé et passionné à la fois par le cinéma et le jeu.
Bay a mentionné que l’industrie cinématographique saoudienne était avantagée par le fait que 75% de la population du pays est âgée de moins de 35 ans.
«J’ai une division à plus petit budget où nous aidons les jeunes réalisateurs… où nous soutenons les jeunes réalisateurs. Et vous devriez vous aussi faire appel à de jeunes talents, que ce soit pour des films d’action, des films d’horreur ou autres. Vous verrez votre activité se développer.»
«C’est exactement ce que la Chine a fait. Leur industrie cinématographique n’était pas très importante. Nous avons commencé à tourner là-bas et ils ont maintenant créé leur propre industrie en Chine.»
Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com
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CASABLANCA: La pop culture marocaine, le vintage et le monde du sport automobile s’étaient donné rendez-vous à l’occasion d’une exposition inédite. Pendant plus d’un mois, en effet, les amoureux d’art ont été nombreux à découvrir les œuvres de Mohammed Amine el-Bellaoui, alias «Rebel Spirit», à la galerie 21 de Casablanca. Le plasticien y a présenté des tableaux dans lesquels se reflète sa passion pour l’univers rétro.
«J’ai toujours aimé collectionner des objets vintage. Un jour, sur un marché aux puces, je suis tombé sur une affiche du Grand Prix automobile du Maroc. Après plusieurs recherches, je me suis rendu compte que, entre 1957 et 1958, Casablanca abritait le circuit d’Aïn Diab, mais qu’aucun pilote marocain ne participait à la course. J’ai donc décidé d’imaginer une course dédiée aux voitures mythiques, celles qui ont marqué l’histoire, avec des participants qui représentent les différentes régions du Maroc.»
Cette course imaginée par Rebel Spirit est immortalisée grâce à une dizaine de tableaux agrémentés de couleurs vives et de références au folklore marocain. Elle a donné naissance à l’exposition intitulée «Autour du Grand Prix automobile du Maroc».
«Je suis un grand admirateur du graphisme des années 1960 à 1980. J’ai toujours été impressionné par la typographie et le choix des couleurs de ces époques. Parmi mes plus grandes sources d’inspiration, il y a les affiches de publicité, d’anciens films, les couvertures d’albums de musique et, surtout, les albums photos de famille et d’amis», raconte l’artiste à Arab News en français.
Artiste à l’esprit rebelle
Déjà enfant, Mohammed Amine passait «plus de temps à dessiner qu’à suivre les cours». Ce natif de Casablanca s’est d’ailleurs pleinement consacré à sa passion et il a bénéficié d’un environnement «idéal» pour réaliser ses rêves.
«J’ai grandi dans le quartier Salmia, dans la périphérie de Casablanca. C’est là-bas que j’ai joué au foot, que j’ai dessiné. J’y ai tout appris! J’ai toujours mon atelier ici, dans l’appartement de mes parents. C’est un endroit qui me rappelle qui je suis vraiment.»
«J’ai grandi dans le quartier Salmia, dans la périphérie de Casablanca. C’est là-bas que j’ai joué au foot, que j’ai dessiné. J’y ai tout appris! J’ai toujours mon atelier ici, dans l’appartement de mes parents. C’est un endroit qui me rappelle qui je suis vraiment.»
C’est au lycée que le jeune homme commence à utiliser le pseudonyme «Rebel Spirit». Un nom qui, selon lui, définissait parfaitement son style et sa personnalité.
«Ce nom vient d’une phrase extraite de la chanson Saharagga de Gnawa Diffusion. J’étais un grand fan de ce groupe à l’école. À l’époque, on devait choisir une signature, et je me suis dit que ça me représentait bien.»
D’ailleurs, c’est en plein air que Rebel Spirit réalise ses premières œuvres. Il se lance en effet rapidement dans le graffiti sauvage lors de virées nocturnes, laissant son empreinte sur de nombreux murs casablancais.
«Aujourd’hui, je continue de pratiquer le graffiti. C’est comme un sport extrême! On est à chaque fois à la recherche de l’adrénaline. C’était mon premier support d’expression, ce n’est pas simplement de la peinture sur un mur, c’est une véritable échappatoire», confie l’artiste.
Casablanca en bande dessinée
Si le plasticien s’exprime à travers le graffiti et la toile, c’est sur un autre support qu’il s’est fait connaître du public. En effet, sa première BD, Le Guide casablancais, a connu un vif succès au Maroc.
«C’était, à l’origine, mon projet de fin d’études, lorsque j’étudiais aux Beaux-Arts. J’ai opté pour la bande dessinée parce que, à l’époque, je recevais beaucoup de personnes qui faisaient du couchsurfing [forme d’hébergement non marchand, NDLR] et je leur faisais visiter Casablanca. À chaque fois, je devais leur expliquer certains phénomènes qui ne se produisent qu’à Casablanca, comme les signes que font les gens avant de prendre un grand taxi ou encore l’ambiance exceptionnelle qui règne lors d’un classico entre le Raja et le Wydad. J’ai voulu le raconter.»
Après l’obtention de son diplôme, Rebel Spirit décide de se concentrer sur le perfectionnement de sa bande dessinée. À force de travail, il parvient à sortir les tomes 1 et 2 du Guide casablancais, qui a pour protagoniste un certain El-Madani. «Ce personnage, c’est un peu moi qui m’exprime quand je n’arrive pas à dire quelque chose. C’est un héros sans gloire, qui n’a pas de pouvoir. Il est inspiré de plusieurs personnes qui ont marqué ma vie.»
Les fans d’El-Madani pourront s’en donner à cœur joie: un troisième tome du Guide casablancais est en cours de préparation et pourrait bien voir le jour en 2024. Par ailleurs, Mohammed Amine el-Bellaoui espère trouver les financements nécessaires pour adapter son projet au cinéma, ce qui permettrait à son héros de briller sur grand écran.
https://arab.news/ver2y
DUBAÏ: Le prince héritier de Jordanie, Hussein ben Abdallah, a présenté ses vœux à sa mère, la reine Rania, à l’occasion de son 53e anniversaire, en publiant une photo d’eux deux et de son épouse, la princesse Rajwa al-Hussein, sur Instagram. «Que Dieu te bénisse et te protège toujours, chère maman. Je te souhaite un joyeux anniversaire», écrit-il en légende. 
Une publication partagée par Royal Hashemite Court (@rhcjo)
La reine Rania a eu une année bien remplie. En mars, sa fille, la princesse Iman bent Abdallah II, a épousé Jamil Alexander Thermiotis, directeur associé d’un fonds de capital-risque basé à New York.
Lors d’un événement très médiatisé, son fils aîné, le prince héritier Hussein, s’est marié en juin avec la princesse Rajwa, architecte d’origine saoudienne.
 
Une publication partagée par Al Hussein bin Abdullah II (@alhusseinjo)
La reine Rania a également célébré cette année son trentième anniversaire de mariage avec le roi Abdallah II.
Par ailleurs, le prince héritier Hussein et la princesse Rajwa ont été aperçus au début du mois en train d’assister à la 11e édition de la Coupe internationale de basket-ball du roi Abdallah II.
Une publication partagée par Al Hussein bin Abdullah II (@alhusseinjo)
 
Les jeunes mariés ont soutenu l’équipe de leur pays, qui a remporté son match contre le Mexique.
Le prince et la princesse, qui se sont mariés le 1er juin, portaient des tee-shirts noirs assortis, sur lesquels étaient imprimées les couleurs du drapeau jordanien.
 
Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com 
https://arab.news/regy9
RIYAD: SRMG, le plus grand groupe de médias intégré de la région du Moyen-Orient et de l’Afrique du Nord (Mena), a annoncé le lancement de la chaîne Asharq Documentary, prévu pour dimanche 3 septembre à 15 heures (GMT).
Asharq Documentary est une nouvelle plate-forme multimédia en clair de documentaires factuels en langue arabe. En réponse à la demande croissante de documentaires dans la région, Asharq Documentary proposera une plongée en profondeur dans des sujets comme la politique, les affaires et l’économie, ainsi que l’Histoire.
La chaîne présentera également des points de vue uniques et des analyses approfondies sur les dernières tendances, les événements et les personnalités influentes qui façonnent le monde d’aujourd’hui. 
Asharq Documentary est le dernier né du réseau d’information primé Asharq News Network, qui comprend Asharq News, Asharq Business with Bloomberg et Asharq Discovery, qui sera bientôt lancé.
Selon une enquête que nous avons réalisée, plus de 80% des personnes interrogées dans la région Mena réclament des contenus arabes plus nombreux et de meilleure qualité, ce qui montre qu’il existe une demande exceptionnelle et une lacune dans la région pour ce type de contenu.
En outre, la chaîne Asharq News de SRMG a déjà diffusé plus de quatre cents heures de documentaires de qualité, avec des chiffres d’audience élevés et un engagement positif du public, ce qui souligne le fort appétit pour les programmes documentaires de haute qualité en langue arabe dans la région.
L’un des principaux facteurs d’Asharq Documentary pour se démarquer est sa capacité de production interne dédiée, qui permettra d’avoir accès à des programmes exclusifs de qualité, produits localement, qui vont au-delà des gros titres de l’actualité régionale et mondiale pour proposer des analyses approfondies et audacieuses.
Ce contenu produit en interne viendra compléter les contenus sous licence et acquis par la chaîne. Alors qu’il existe actuellement un déficit de documentaires produits localement, Asharq Documentary est particulièrement bien placée pour combler ce vide en proposant un contenu original soutenant l’industrie cinématographique régionale et encourageant les talents locaux et régionaux.
Commentant le lancement de la chaîne, la PDG de SRMG, Joumana R. al-Rachid, a déclaré que «la région Mena ne dispose pas actuellement d’une chaîne documentaire complète en langue arabe se penchant sur les sujets qui façonnent le monde contemporain. SRMG a saisi l’occasion de se développer sur ce marché inexploité en créant Asharq Documentary, dont l’objectif est de faire découvrir les histoires qui se cachent derrière les gros titres et d’approfondir les faits et les informations qui s’y rapportent».
Cette nouvelle plate-forme fournira un accès sans précédent à des documentaires en langue arabe, y compris de nouveaux contenus produits en interne, spécialement pour la région. Asharq Documentary est une nouvelle démonstration de la stratégie de croissance et d’expansion de SRMG pour rester à l’avant-garde du changement en proposant à son public un contenu de haute qualité qui incite à la réflexion.
Mohammed al-Yousei, directeur d’Asharq Documentary, a indiqué que la chaîne avait pour ambition de devenir la première plate-forme de documentaires politiques de premier plan, proposant une couverture approfondie des événements régionaux et internationaux. 
«Asharq Documentary produira des films factuels couvrant un large éventail de sujets comme la politique, l’économie, les affaires et l’Histoire. La plate-forme présente des points de vue et des analyses approfondies en utilisant des technologies de pointe dans son processus de production, afin de rendre le contenu plus vivant», a-t-il expliqué. 
 
Lors de son lancement, Asharq Documentary proposera une gamme diversifiée de documentaires en langue arabe, comme:
 
 
Asharq Documentary sera accessible via sa chaîne de télévision dédiée et ses comptes sur les réseaux sociaux, ainsi que par le biais d’une diffusion en direct et de services à la demande via Asharq NOW.
 
Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com
 

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