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Aboubakr Jamaï : «Le plus grand ennemi qu'il ait, c'est lui-même … – Barlamane

Barlamane
C’est une chose si délicate que de vouloir rappeler à une nation comme la France ses intérêts, lorsqu’elle s’est privée elle-même de toutes les ressources de régénération. Aboubakr Jamaï, d’une morale relâchée, cherchant la contradiction et le scandale pour le plaisir de briller, impute au Maroc «la fâcherie» avec le France. Ses promoteurs ne voient en lui qu’un sophiste vendu au parti qui sait le gagner. Heureusement que le tableau raisonné des événements politiques n’est jamais confié aux contrefacteurs et aux compilateurs sans scrupule.
La calvaire du sieur Aboubakr Jamaï est aisé à deviner : oublier la réserve que lui imposent les lois de l’hospitalité française (intéressée), quitter à s’attaquer au gouvernement de son propre pays et aux institutions marocaines ? Quelques observations malsonnantes, publiées dans Le Monde diplomatique (octobre 2023) lui ont attiré de sévères remontrances. Se déterminer à faire des concessions, surtout à l’étranger, afin de cibler le Maroc, est ce qu’on appelle une trahison. Comme le lui a dit un de ses confrères un jour, «le plus grand ennemi qu’il ait, c’est lui-même. » Un aveu qui apparaît comme le premier coup de pioche donné à une réputation peu méritée.
Il y a quelque chose du fléau dans la vanité exigeante du sieur Jamaï, dans son âpreté à la polémique, dans sa versatilité impudente et parfois ridicule. Il se jette à travers tous les événements, faute de s’imposer dans les grandes questions. Serait-il devenu un dogue à longues dents que la France profonde a lancé contre le Maroc ?
Ses copains eux-mêmes, surtout au Maroc, sont dépaysés : faut-il accorder trop d’importance à des paradoxes écrits au courant de la plume, depuis la France, par celui qu’on dépeint comme l’homme des contradictions ? Quelle que puisse être la principale cause de la disgrâce de M. Jamaï, rien ne justifie qu’un grand nombre d’honnêtes gens soient grièvement insultés dans ses écrits.
2 321 mots, un homme enrôlé décidément sous la bannière des ennemis du pays, tout cela pour avoir son indignité sur les épaules comme un fagot d’épines ? Les lecteurs qui connaissent Aboubakr Jamaï peuvent être sûrs que le même esprit dictera les articles qui vont suivre. En attendant, les journalistes français, dans la fosse aux lions du régime français, attendent un mot de celui s’assure sans doute le droit de désavouer ce qui continuera à paraître fondé aux yeux du monde : la puissance des institutions marocaines et leur légitimité immuable.
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