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Un hélicoptère s'écrase au large de Dubaï, l'équipage porté disparu – Arabnews fr

https://arab.news/gxpuk
DUBAÏ: Un hélicoptère appartenant à la compagnie AeroGulf s’est écrasé en mer jeudi soir. Une opération de recherche est en cours pour retrouver son équipage composé de deux pilotes, a annoncé vendredi l’Autorité générale de l’aviation civile des Émirats arabes unis.
L’accident s’est produit au large de Dubaï après le décollage de l’hélicoptère depuis l’aéroport international Al Maktoum.
L’un des pilotes de l’hélicoptère Bell 212 est égyptien et l’autre est sud-africain, a précisé le régulateur de l’aviation.
«Les équipes de recherche et de sauvetage ont récupéré l’épave, et la recherche est toujours en cours pour retrouver l’équipage de l’avion», a déclaré l’autorité.
Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com
https://arab.news/b4ck7
DUBAÏ: Les autorités saoudiennes ont saisi 183 900 comprimés de Captagon dissimulés dans une voiture arrivée vendredi dans le port de Batha, dans le sud de Riyad.
Les pilules ont été saisies dans le coffre de la voiture, a précisé l’Autorité de la zakat, des impôts et des douanes dans un communiqué vendredi.
La personne qui devait récupérer la cargaison a été arrêtée en coopération avec la Direction générale du contrôle des stupéfiants du pays.
Selon une étude publiée dans l’International Addiction Review-Journal, la valeur marchande de la cargaison saisie est estimée entre 1,8 et 4,6 millions de dollars (1 dollar = 0,93 euro), en partant du principe que les consommateurs paient entre 10 et 25 dollars par comprimé.
Les amphétamines sont largement consommées par les jeunes hommes et les adolescents dans tout le Moyen-Orient, et l’argent récolté par la vente de tous les stupéfiants se retrouve généralement pour soutenir le crime organisé et le terrorisme.
Le gouvernement saoudien demande à toute personne disposant d’informations sur des opérations de contrebande ou des violations douanières présumées d’appeler le numéro confidentiel 1910, le numéro international 00 966 114208417, ou d’envoyer un courriel à [email protected].
 
Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com
https://arab.news/v9y4n
RABAT: Le chef de la diplomatie marocaine a insisté vendredi que toute solution politique au Sahara occidental devrait être “basée exclusivement” sur le plan marocain, en recevant l’émissaire de l’ONU sur la question au terme de sa première visite dans ce territoire disputé.
Selon la diplomatie marocaine, l’envoyé onusien Staffan de Mistura a visité cette semaine Laâyoune et Dakhla, au Sahara occidental, où il a rencontré des élus, des chefs de tribus sahraouies, des notables locaux ainsi que des acteurs économiques et de la société civile, partisans du Maroc.
M. de Mistura a aussi rencontré des indépendantistes durant sa visite, a rapporté le site d’information marocain Goud.
La visite de M. de Mistura au Sahara occidental est la première du genre, bien qu’il ait effectué plusieurs tournées dans les pays de la région depuis sa nomination à son poste en octobre 2021, sans parvenir à relancer le processus politique en vue d’un règlement.
Vendredi, il a été reçu à Rabat par le ministre marocain des Affaires étrangères Nasser Bourita et le représentant du Maroc à l’ONU Omar Hilale.
Lors de cette rencontre, “la délégation marocaine a rappelé les constantes de la position du Maroc (…) pour une solution politique, basée exclusivement sur l’initiative marocaine d’autonomie, dans le cadre de la souveraineté nationale et de l’intégrité territoriale du royaume”, a indiqué la diplomatie marocaine dans un communiqué.
La question du Sahara occidental, ex-colonie espagnole considérée comme un “territoire non autonome” par l’ONU, oppose depuis des décennies le Maroc aux indépendantistes sahraouis du Front Polisario, soutenus par Alger.
Rabat, qui contrôle près de 80% de ce territoire, propose un plan d’autonomie sous sa souveraineté. Le Polisario réclame un référendum d’autodétermination sous l’égide de l’ONU, prévu lors de la signature en 1991 d’un cessez-le feu mais jamais concrétisé.
Enhardi par la reconnaissance par l’administration américaine de Donald Trump fin 2020 de sa souveraineté sur ce territoire en contrepartie d’un rapprochement avec Israël, le Maroc déploie depuis une diplomatie de plus en plus offensive pour rallier d’autres pays à ses positions.
https://arab.news/6xy5k
BEYROUTH: Plus de 2 000 Syriens sont descendus dans la rue vendredi à Soueida et ses environs dans le sud du pays pour la troisième semaine consécutive, une mobilisation antirégime qui ne faiblit pas, selon un témoin et un militant.
La province de Soueida, sous contrôle du régime du président Bachar al-Assad, est le théâtre de manifestations depuis que le gouvernement a levé à la mi-août les subventions sur les carburants, affectant une population déjà éprouvée par plus de douze ans de guerre.
“Bachar, on ne veut pas de toi” et “Contre ton gré, on aura la liberté”, scandaient les manifestants.
“S’il y a une telle mobilisation, c’est notamment parce que la présence des femmes se fait ressentir, toutes les classes sociales sont là”, a déclaré à l’AFP Rayane Maarouf, un militant du média local Suwayda24.
Selon lui, les manifestants présents sur la place centrale de la ville de Soueida sont venus de l’ensemble de la province.
Environ 2 000 protestataires, femmes et hommes, étaient rassemblés sur la place al-Karama, scandant des slogans hostiles à M. Assad, selon Rayane Maarouf et un témoin.
Des manifestations étaient également en cours dans les principales localités de la province, a ajouté le témoin.
Le mécontentement face à la cherté de la vie s’était brièvement propagé à d’autres villes du sud, notamment à Deraa, berceau du soulèvement pacifique de 2011, que le gouvernement a réprimé d’une main de fer, plongeant le pays dans une guerre civile sanglante.
Si seule Soueida continue d’être agitée par des protestations quotidiennes, des petites manifestations ont également lieu à Jassem, Bosra et Deraa, situées dans la province éponyme voisine, selon le témoin et le média local Daraa24.
Les autorités se sont abstenues de réprimer les manifestations en cours à Soueida, où les protestataires s’étaient attaqués ces derniers jours à des symboles du pouvoir, déchirant des portraits de l’ancien président syrien, Hafez el-Assad, père du président actuel.
Des dizaines de milliers de jeunes hommes de Soueida ont refusé d’effectuer leur service militaire depuis 2011, et les forces de sécurité y ont une présence limitée.
Soueida, fief de la minorité druze et dont la ville éponyme est le chef-lieu, est restée largement à l’écart du conflit en Syrie.

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