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Netflix et le fonds culturel arabe lancent un programme de formation … – Arabnews fr

https://arab.news/44cka
DUBAΪ: La plateforme de streaming Netflix s’est associée au Fonds arabe pour les arts et la culture (Afac) pour lancer «Women in Film: Introduction to the Creative Process», un programme destiné aux talents féminins émergents qui vise à éduquer les participantes au processus de création cinématographique. 
Quarante-cinq femmes cinéastes émergentes – diplômées d’études cinématographiques et intéressées par le cinéma, résidant en Égypte, en Jordanie, en Arabie saoudite, au Koweït et dans les Émirats arabes unis – seront sélectionnées pour participer au programme.  
Les participantes seront initiées à l’écriture de scénarios et au processus créatif du cinéma par des réalisatrices confirmées de la région arabe.  
Le programme débutera en novembre, avec trois jours d’ateliers au Caire, à Dubaï et à Djeddah. Dans le cadre de ce programme, toutes les participantes auront la possibilité de visiter le centre de production de Netflix en Europe au début de l’année prochaine.  
Netflix s’est déjà associé à Afac dans le cadre d’un programme qui a permis à cinq productrices et réalisatrices arabes de recevoir un total de 250 000 dollars (1 dollar = 0,92 euro) par l’intermédiaire du Netflix’s Fund for Creative Equity .  
Nuha el-Tayeb, directrice du contenu pour le Moyen-Orient, l’Afrique et la Turquie chez Netflix, a déclaré: «Chez Netflix, nous sommes très attachés à faire entendre la voix des femmes derrière la caméra. Cela implique un engagement en faveur d’une narration authentique, intrinsèquement liée au développement du vivier de talents de la région.»  
Fondée en 2007 par des activistes culturels arabes, Afac est une fondation indépendante qui soutient les artistes, les écrivains, les chercheurs et les organisations de la région arabe.  
Les candidatures seront ouvertes du 17 août au 8 septembre. 
Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com
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BAGDAD: Amorphes au bord d’un bassin, deux tigres de Sibérie halètent: il fait 50 degrés et les animaux du zoo de Bagdad souffrent, comme les humains, de l’insupportable canicule. Et la vétusté du jardin zoologique n’arrange pas les choses.
Les félins, dont l’habitat naturel est l’Extrême-Orient russe, n’ont pas l’air bien vaillants dans leur enclos. Ils sont plutôt habitués aux régions “où les températures chutent jusqu’à -20 degrés”, explique Wassim Sarih, le vétérinaire du seul parc zoologique de Bagdad, situé en plein cœur de la capitale.
En ce mois d’août, la capitale irakienne, comme le reste du pays, souffre de températures extrêmes. Il fait 50 degrés à Bagdad, selon l’agence météorologique.
Les données de l’ONU classent l’Irak parmi les cinq pays les plus exposés à certains effets du changement climatique. Et à l’heure actuelle, l’ancienne Mésopotamie subit sa quatrième année de sécheresse consécutive.
Un calvaire pour les hommes, comme pour les animaux.
Le parc zoologique compte environ 900 animaux, dont des lions, des oiseaux exotiques, des oiseaux de proie, des ours, des singes ou des flamants roses.
Pour tenter de faire quelque peu baisser le mercure, des refroidisseurs d’air ont été installés face aux cages des lions et des bassins sont à disposition des ours et des tigres.
Mais l’eau verdâtre des bassins n’invite pas vraiment les tigres à la baignade, et la plupart des cages “conviennent aux animaux qui vivent dans des climats chauds, nous n’en avons pas pour les animaux habitués au froid”, regrette Wassim Sarih.
Ce sont des “modèles des années 1970”, explique le directeur du zoo, Haider al-Zamili, bien forcé de faire avec les maigres moyens alloués par les autorités.
Espérance de vie réduite 
Dans ces conditions, “la durée de vie de nos animaux est moindre par rapport à d’autres parcs”, souffle Wassim Sarih. Les tigres de Sibérie du zoo ne dépassent pas les “17 ou 18 ans” à cause de l’épuisement dû à la chaleur, tandis que leurs congénères d’autres zoos “ont une espérance de vie de 20 à 25 ans”.
Selon le vétérinaire, quatre ours, des lions et des oiseaux sont morts ces dernières années, dont la moitié “à cause du changement climatique”.
Dans les allées du zoo, pas un seul visiteur. Il fait bien trop chaud pour mettre le nez dehors. Seuls résonnent les cris des singes et le chant des oiseaux.
Karrar Jassem est l’une des seules présences humaines à sillonner le jardin. Employé du zoo, il nourrit les animaux et nettoie cages et enclos de 8h à 15h. Un travail éreintant pour ce père de famille de 32 ans qui ne gagne que 250.000 dinars par mois (environ 150 euros).
Le salaire des employés est “très bas et ne correspond pas aux dangers auxquels ils sont confrontés, comme les éventuelles blessures ou les douleurs articulaires”, se plaint Wassim Sarih. Il dit avoir alerté les pouvoirs publics, et notamment la municipalité de Bagdad, propriétaire du zoo, mais “nous n’avons trouvé aucune oreille attentive”.
Et, de prédire que “dans un avenir proche”, le zoo devra bientôt fermer ses portes en l’absence d’un ambitieux plan de réhabilitation. “Toute la communauté sera alors perdante”, se lamente-t-il.
https://arab.news/w5sk8
Casablanca: Au croisement de la mélodie musicale et des interactions humaines se trouve Hamza Bennani Smires, à la fois trompettiste et compositeur, familier de la scène culturelle marocaine. Professeur de musique à l’Université Mohammed VI Polytechnique (UM6P), il façonne un atelier musical novateur à destination des entreprises et des organisations publiques.
«Mon concept vise à définir une esthétique de musique marocaine moderne inspirée des traditions locales mais également teintée d’éléments de jazz et de musique classique issus de ma formation musicale», explique-t-il. Comment cette harmonie inattendue entre musique et ressources humaines revelle elle une nouvelle symphonie dans les dynamiques d’équipe en entreprise?
La mélodie du parcours
Le parcours de Bennani Smires, amorcé dans le cabinet de consulting RH Accenture à Paris, dévoile une dualité captivante. Naviguant entre le monde des entreprises et sa passion musicale, Hamza a développé une perspective unique. «J’avais déjà un plan en tête pendant mes études. Je voulais vraiment faire de la musique, mais avec mes propres moyens.»
Les études en sciences et en ressources humaines ont nourri sa curiosité pour les affaires tout en préservant son amour pour la musique. «J’ai intégré le monde de l’entreprise en sachant déjà que j’allais y passer un temps relativement limité, puisque mon objectif, c’était de devenir musicien professionnel.»
https://arab.news/4k6eb
DUBAΪ: Georgina Rodriguez, la compagne de longue date du footballeur de la Saudi Pro League Cristiano Ronaldo, est de retour à Riyad avec les enfants du couple après un été passé à l’étranger.  
Le mannequin argentin et star des réseaux sociaux a posté dimanche sur Instagram un florilège de photos prises depuis le retour de la famille en Arabie saoudite, avec pour légende, «Home», accompagné d’un emoji en forme de cœur.

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