Les écoles de commerce ont la cote – Maroc Hebdo
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Les lauréats des écoles de commerce sont très demandés sur le marché du travail. Un résultat qui s’explique notamment par la qualité de la formation dispensée
Chaque année, les nouveaux bacheliers sont de plus en plus nombreux à fréquenter les écoles de commerce pour apprendre comment lancer l’entreprise de leurs rêves. Être son propre patron présente de nombreux avantages, mais devenir un entrepreneur prospère exige des bases solides en gestion d’entreprises, une bonne dose de créativité et d’innovation, et une solide stratégie d’exécution.
En fréquentant la bonne école de commerce, aussi bien publiques que privées, les étudiants peuvent développer leurs compétences entrepreneuriales, agrandir leur réseau et peut être même trouver leurs co-fondateurs. C’est en intégrant ces écoles de commerce que les nouveaux bacheliers seront non seulement en mesure de travailler sur des défis commerciaux réels, mais aussi apprendre à résoudre des problèmes et à hiérarchiser les ressources en adoptant une approche analytique et rentable. La formation au sein de ces écoles de commerce est à même de leur donner des outils de gestion efficaces.
Fréquenter une école de commerce publique n’en diminue pas moins l’attrait de celui d’une école de commerce privée. Nos jeunes bacheliers ont, d’ailleurs, l’embarras du choix.
D’abord, les écoles publiques de l’enseignement supérieur comme L’ISCAE (Institut Supérieur de Commerce et d’Administration des Entreprises) , les ENCG (Ecoles Nationales de Commerce et de Gestion )de Settat, Casa, Tanger, El Jadida , d’Agadir et autres Al Akhawayn University , etc., ont acquis, au fil du temps, une bonne réputation. Elles sont sélectives et pour y accéder, le nouveau bachelier a besoin d’avoir le seuil minimal qui lui permettra de passer le concours. Prenant l’exemple de l’ENCG Settat : sur 20 000 candidats qui se présentent chaque année, seuls 300 parviennent à intégrer l’école. Selon certains classements établis par des organismes marocains en 2020 , 8 sur 15 des établissements du secteur public (dont 4 facultés) figurent dans le classement des meilleurs écoles de commerce au Maroc avec la domination de l’ENCG Settat et l’ISCAE.
Et pour cause, et pour ne citer que l’exemple de l’ISCAE, cet institut prestigieux qui s’est distingué, depuis sa création en 1971, par la qualité de sa formation et la renommée de ses diplômes aussi bien sur le plan national qu’international. Derrière ce succès grandissant, se trouvent des hommes et des femmes ainsi qu’un positionnement pédagogique salué à l’échelle mondiale. L’accréditation « AMBA », obtenue en 2017 a permis au Groupe de faire la différence sur le plan continental.
Les écoles de commerce privées ne sont pas en reste. Y figurent des écoles aussi réputées que HEM (Institut des Hautes Etudes de Management), HECI (Hautes Etudes Commerciales et Informatiques, Sup de Co Marrakech, l’ESCA, Mundiapolis ou l’UIC (Université Internationale de Casablanca). Ces écoles de commerce privées sont parmi les écoles marocaines les plus renommées. Accueillant, chaque année, et de plus en plus, de nouveaux étudiants, ces écoles sont aujourd’hui en nombre suffisant pour offrir une formation de qualité grâce à un corps enseignant compétent et un recours régulier aux interventions externes des professionnels reconnus dans plusieurs domaines.
Autant dans les écoles de commerce publiques que privées, la formation en gestion permet non seulement l’acquisition des compétences nécessaires pour créer sa propre entreprise mais aussi la possibilité de faire carrière dans le domaine des affaires. L’avantage d’un diplôme d’études commerciales est qu’il peut mener à de nombreux postes de premier échelon à la fin des études, tout en donnant à ceux qui souhaitent se spécialiser davantage la possibilité d’améliorer leur rentabilité grâce à un second diplôme.
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