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La société britannique Sound Energy obtient un financement de 237 … – Arabnews fr

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RIYAD : Un projet de gaz naturel dans l’est du Maroc sera bientôt achevé grâce à un nouveau financement octroyé par la plus grande banque du pays nord-africain.
Selon un communiqué, la société britannique Sound Energy a reçu une offre conditionnelle d’Attijariwafa Bank afin d’obtenir un financement de 2,3 milliards de dirhams marocains (1 dirham = 0,093 euro) pour réaliser la deuxième phase du projet basé à Tendrara.
Les fonds seront alloués à l’achèvement du forage, à l’exploitation des puits et à la construction d’un gazoduc pour transporter le gaz naturel jusqu’à l’Office national de l’électricité et de l’eau potable de l’État.
« Ce financement est le plus important de ce type alloué à un projet de champ gazier au Maroc », affirme Graham Lyon, président exécutif de Sound Energy.
La société avait entamé des négociations avec la banque marocaine le 23 juin 2022 pour obtenir ce financement qui s’étend sur une période de douze ans. Elle dispose d’une période de grâce d’environ deux ans.
Sound Energy possède la plus grande zone de prospection pétrolière et gazière dans le pays nord-africain, d’une superficie totale de 28 000 km².
La région de Tendrara abrite des réserves de gaz naturel estimées à 10,68 milliards de mètres cubes, selon le site Web officiel de la société.
La production de gaz naturel du Maroc s’élève actuellement à 100 millions de mètres cubes, tandis que la consommation annuelle totale s’élève à 1 milliard de mètres cubes, qui est satisfaite par le marché international.
Dans une interview accordée à East Economy au début du mois de juin, la ministre marocaine de la Transition énergétique et du Développement durable, Leila Benali, a déclaré que la production de gaz naturel dans le pays augmenterait de 300 millions de mètres cubes.
Cela est principalement dû aux découvertes en cours dans les régions de Tendrara et de Larache, qui permettront à la production marocaine d’atteindre 400 millions de mètres cubes dans les années à venir.
Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com
 
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PARIS: Le marché automobile français poursuit sa reprise de croissance, avec +11,55% de voitures particulières neuves recensées en juin par rapport à juin 2022, ont annoncé samedi les constructeurs.
Sur les six premiers mois de 2023, avec 889 777 immatriculations de voitures particulières neuves, le marché progresse de 15,26% en données brutes, une performance à relativiser car 2022 avait été faible.
A titre de comparaison, les immatriculations de voitures ont en effet frôlé le chiffre de 240 000 en juin 2020.
Au total, 190 848 voitures particulières neuves ont été immatriculées en juin, a indiqué la Plateforme automobile (PFA, représentant constructeurs et équipementiers).
Si on inclut les véhicules utilitaires légers de moins de 5,1 tonnes, cela fait 233 547 véhicules légers neufs immatriculés, soit une hausse de 12,49% sur un an.
Pour ce qui est des camions et véhicules industriels de plus de 5,1 tonnes, ils ont connu en juin une progression marquée de 29,1% sur un an. Sur le premier semestre, cela fait +11,7%.
Du côté des constructeurs, le franco-italo-américain Stellantis est resté en juin le premier groupe en volume, avec 27,4% des voitures particulières, mais subit un recul de 2,8% sur un an. Peugeot en particulier recule de 10,5%. En juin 2022, Stellantis avait plus de 31,4% des parts de marché.
Renault a représenté pour sa part 25,8% du total en juin, en repli de 8,7%.
Troisième, le groupe allemand Volkswagen représente 12,3% du volume des immatriculations de juin, progressant de 23,9% par rapport à juin 2022.
Le groupe Toyota a bondi de 37,9%, mais reste encore à 6,4% du total.
Le bilan montre aussi la progression des voitures électriques et hybrides rechargeables, 12 ans avant la fin prévue des ventes de voitures thermiques en Europe: au total, ces voitures ont atteint le chiffre inédit de 27% des parts de marché en juin (contre 24% en mai). Les électriques seules représentent 17%.
Pour autant, les voitures à essence se taillent encore la part du lion, avec 38% des livraisons. Le diesel, star hier, poursuit sa dégringolade, n’équipant plus qu’une nouvelle voiture sur dix (10,6% sur ces six derniers mois, contre encore 16,8% au premier semestre 2022).
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NEW YORK: La capitalisation boursière d’Apple, le groupe privé le plus important du monde, s’est élevée vendredi pour la première fois en clôture au-dessus du seuil symbolique des 3 000 milliards de dollars.
Profitant de l’enthousiasme du Nasdaq après de bonnes nouvelles sur le front de l’inflation américaine, il fallait que le titre dépasse les 190 dollars pour atteindre cette valorisation inouïe.
L’action AAPL, son code boursier, a terminé sur un bond de 2,31% à 193,97 dollars soit une capitalisation de 3 051 milliards de dollars, un montant, sur papier, supérieur au Produit intérieur brut (PIB) de la France.
Une bonne note de la part de la banque Citigroup a aidé à doper l’action vendredi, a souligné Patrick O’Hare de Briefing.com. Depuis le début de l’année, le titre d’Apple a grimpé de plus de 50%.
Le groupe à la pomme avait déjà brièvement dépassé ce seuil des 3 000 milliards en janvier 2022 avant de céder du terrain, ayant racheté et annulé des milliards de dollars d’actions ce qui avait fait baisser sa capitalisation boursière.
Le groupe de Cupertino (Californie) avait aussi fait face à des difficultés d’approvisionnement liées à la politique de restrictions sanitaires en Chine où se situe la plus grosse usine de production des célèbres téléphones de la marque.
Apple avait même dû céder provisoirement son premier rang parmi les capitalisations boursières à Saudi Aramco, la compagnie nationale saoudienne d’hydrocarbures.
En août 2018, 38 ans après son introduction en Bourse, le groupe avait passé le cap des 1 000 milliards de dollars de capitalisation, un montant triplé en moins de cinq ans, malgré la crise de la Covid-19 qui a fait chuter les marchés financiers.
Pour 2023, “les perspectives d’Apple restent solides compte tenu de son bilan et de ses perspectives de revenus”, a souligné Edward Moya, analyste pour Oanda.
Au premier trimestre, Apple a affiché un chiffre d’affaires de 95 milliards de dollars dont plus de 51 milliards issus des ventes de son produit phare, l’iPhone, lancé en 2007. Le groupe a dégagé des bénéfices de 24 milliards de dollars.
Ses ventes de Mac avaient toutefois reculé, comme pour l’ensemble du secteur des micro-ordinateurs, à 7,2 milliards de dollars contre 10,4 milliards un an avant.
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BRUXELLES: L’Union européenne cherche à collecter 3 milliards d’euros par an, au profit de l’Ukraine, en taxant les intérêts générés par les avoirs gelés de la banque centrale russe, a indiqué vendredi le Premier belge Alexander De Croo.
«On travaille sur une taxe sur les profits» tirés des avoirs russes gelés dans l’UE, a déclaré M. De Croo, à l’issue d’un sommet des dirigeants européens à Bruxelles. Cette taxe permettrait de dégager «trois milliards d’euros par an qui pourraient être utilisés pour la reconstruction de l’Ukraine», a-t-il précisé.
La Belgique, qui héberge le siège de l’organisme international de dépôts Euroclear, abrite 90% des 200 milliards d’euros d’avoirs de la banque centrale russe immobilisés dans le cadre des sanctions infligées à la Russie pour la guerre en Ukraine.
«Il y a un consensus politique, maintenant il faut travailler cela techniquement», a expliqué Alexander De Croo.
Selon un diplomate européen, sur les 200 milliards d’avoirs gelés, l’idée serait de saisir la totalité des quelque 3% d’intérêt par an générés par les 100 milliards détenus en espèces.
La Commission européenne «proposera une taxe sur les actifs immobilisés de la Banque centrale russe», a confirmé la présidente de l’exécutif européen, Ursula von der Leyen, lors d’une conférence de presse.
Le chancelier allemand Olaf Scholz s’est toutefois montré très prudent sur la possibilité d’aboutir sur ce projet qui requiert l’unanimité des 27 Etats membres de l’UE.
«Tout cela est terriblement compliqué. Personne ne sait pour l’instant ce qui est possible, ni comment. Nous avons demandé à la Commission d’examiner la question et de nous informer lorsqu’elle sera parvenue à une conclusion», a-t-il déclaré.
Dans ses conclusions, le sommet européen affirme simplement avoir «fait le point sur les travaux réalisés en ce qui concerne les actifs immobilisés de la Russie» et avoir invité la Commission «à faire avancer les travaux conformément au droit de l’UE, au droit international, et en coordination avec les partenaires» internationaux.

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