Diplomatie Tunnel Maroc-Espagne: tenue d'une réunion mixte pour … – Le Desk
Connectez-vous
Abonnez-vous !
Découvrez l’offre de lancement du Desk
La ministre espagnole des Transports, de la Mobilité et des Programmes urbains, Raquel Sanchez, a co-présidé avec Nizar Baraka, ministre de l’Equipement et de l’Eau, la 43ème réunion du Comité mixte hispano-marocain dédié au projet de liaison fie du détroit de Gibraltar, apprend-on d’un communiqué diffusé ce 10 avril.
Pour rappel, lors de la Réunion à Haut Niveau, les deux pays avaient décidé de réactiver les réunions pour le projet de liaison sous-marine entre les deux royaumes.
Pour la ministre espagnole, « il y a une signification importante au fait que, quatorze depuis Tanger en octobre 2009, nous puissions donner un coup de pouce aux études d’un projet d’une importance d’une importance stratégique pour nos pays et poru les relations entre l’Europe et l’Afrique ».
La réunion a permis de valider les actions menées conjointement par la société espagnole chargée des études et son équivalent au Maroc, la Société nationale des études du Détroit (SNED).
Selon le communiqué diffusé, la rencontre coïncide avec la réactivation de la société espagnole chargée du projet, la Secegsa. Celle-ci est mandatée pour la réalisation des études nécessaires afin d’analyser la faisabilité de la liaison fixe intercontinentale pour le transport.
En ce sens, souligne-t-on, le plan de récupération, de transformation et de résilience comprend 2,3 millions d’euros de fonds européens pour mettre à jour les études relatives au projet.
En guise de conclusions de la réunion mixte, les deux parties se sont engagées de donner une meilleure visibilité au projet et d’aborder l’élaboration d’une stratégie générale et d’un plan de travail pour les trois prochaines années qui peut envisager, entre autres, d’analyser la faisabilié de la construction d’une galerie de reconnaissance permettant d’identifier les caractéristiques géo-mécaniques. S’il est construit, il sera possibile tout d’abord de l’utiliser pour les télécommunications.
On indique enfin que les deux sociétés existantes actuellement, du côté des deux pays, sont uniquement dédiées à la réalisation d’études, et non de travaux. Pour toute construction à réaliser à l’avenir, cela impliquerait un nouvel accord bilatéral à signer entre le Maroc et l’Espagne.
Cette page nécessite JavaScript pour être affichée.
JavaScript est activé par défaut dans votre navigateur, mais il semble avoir été désactivé.
Pour l’activer à nouveau, suivez ces instructions, puis actualisez cette page.