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Crash d'un hélicoptère aux Emirats: mort du second pilote porté … – Arabnews fr

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DUBAI: Le second pilote d’un hélicoptère qui s’est écrasé jeudi soir au large des Emirats arabes unis et qui était porté disparu, a été retrouvé mort, ont annoncé lundi les autorités de cet Etat du Golfe.
Vendredi, l’agence de presse officielle WAM avait indiqué que le corps d’un des deux pilotes avait été retrouvé sans vie après le crash d’un hélicoptère Bell 212, et que “les opérations de recherche et de sauvetage” se poursuivaient “pour retrouver l’autre pilote disparu”.
“Les équipes de recherche ont retrouvé le corps du second pilote”, a indiqué lundi l’Autorité générale de l’aviation civile (GCAA), citée par WAM.
“Les enquêtes sont toujours en cours” afin de déterminer “les circonstances de l’accident” dans lequel ont péri les deux pilotes, l’un de nationalité égyptienne et l’autre sud-africaine, a ajouté cette source.
L’appareil appartenant à la compagnie Aerogulf est tombé en mer au large de l’émirat de Oum Al-Qaïwain (nord-est) jeudi soir alors qu’il réalisait un entraînement de nuit.
Il avait décollé de l’aéroport international d’Al-Maktoum, à Dubaï pour effectuer des opérations de formation de routine entre l’aéroport et une plate-forme offshore, a précisé la compagnie Aerogulf.
Aerogulf est le premier opérateur d’hélicoptères commerciaux de l’émirat. Il a été fondé en 1976 pour fournir des services à l’industrie pétrolière et gazière, avant d’étendre ses services à d’autres secteurs.
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SOUEIDA, Syrie : Quelque 2.000 personnes ont manifesté vendredi contre le gouvernement dans le sud de la Syrie, où un mouvement de contestation dure depuis plus d’un mois avec un rôle croissant joué par les femmes, selon un témoin et des militants.
La manifestation a eu lieu à Soueida, une ville restée largement à l’écart du conflit en Syrie qui a éclaté en 2011 après la répression de manifestations contre le pouvoir et fait plus d’un demi-million de morts.
La province de Soueida est le théâtre de manifestations pacifiques depuis que le gouvernement a levé à la mi-août les subventions sur les carburants, affectant une population déjà éprouvée par plus de douze ans de guerre.
Comme chaque jour, les manifestants se sont rassemblés sur la place al-Karama, scandant des slogans hostiles au président Bachar al-Assad et brandissant le drapeau multicolore des druzes, dont la province de Soueida est le fief.
Les femmes jouent un rôle grandissant dans les manifestations, selon des témoignages. «La différence aujourd’hui c’est que les femmes ne se bornent pas à manifester, elles planifient et organisent le mouvement», a affirmé Wajiha.
Cette militante, qui n’a pas donné son nom de famille pour des raisons de sécurité, marche tous les jours de sa maison à la place de Soueida, portant des banderoles.
«Les femmes jouent un rôle de premier plan», a ajouté cette femme, jointe au téléphone par l’AFP. Elles décident des slogans, fabriquent les banderoles et coordonnent leur action avec les villageois des environs qui organisent également des manifestations dans leurs localités.
Vendredi, le nombre de manifestants à Soueida oscillait entre 2.000 et 2.500 personnes, selon un militant et un témoin.
Un manifestant brandissait une pancarte énumérant les revendications des protestataires, dont la formation d’un gouvernement transitoire, «une nouvelle Constitution», la libération des détenus et le retour des déplacés.
Jusqu’à présent, le pouvoir a laissé les manifestations se tenir à Soueida, où les protestataires se sont attaqués à des symboles du pouvoir, déchirant des portraits du président Assad.
«Bachar doit partir», a affirmé vendredi à l’AFP une autre manifestante, Sana, 50 ans, qui a également refusé de donner son nom de famille.
Les druzes sont une secte ésotérique estimée à environ 3% de la population.
Des dizaines de milliers de jeunes hommes de Soueida ont refusé d’effectuer leur service militaire depuis 2011, et les forces de sécurité ont une présence limitée dans cette région.
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TUNIS : Le chef historique du parti islamo-conservateur Ennahdha, Rached Ghannouchi, a commencé vendredi une grève de la faim de trois jours pour dénoncer sa détention et pour exprimer son «soutien» aux autres «prisonniers politiques» en Tunisie, a annoncé son mouvement à l’AFP.
Incarcéré depuis le 17 avril, M. Ghannouchi, 82 ans, «a décidé d’entamer une grève de la faim de trois jours pour dénoncer des poursuites politiques arbitraires et sans fondements contre les opposants», a indiqué Imed Khemiri, porte-parole d’Ennahdha.
«C’est en soutien aussi à la grève de la faim entamée par Jawhar Ben Mbarek», un opposant connu de la gauche, responsable au Front de salut national (FSN), principale coalition de l’opposition en Tunisie.
M. Ben Mbarek, critique virulent du président Kais Saied arrêté le 24 février, observe une grève de la faim depuis quatre jours pour dénoncer sa détention «injuste», selon sa soeur, l’avocate Dalila Masaddek.
M. Mbarek a entamé «une grève de la faim illimitée jusqu’à ce qu’on lui lève cette injustice», a déclaré vendredi lors d’une conférence de presse Ahmed Néjib Chebbi, président du FSN.
«Face à la détermination du pouvoir à écarter les opposants par des dossiers judiciaires sans fondements, il ne reste aux prisonniers politiques que de militer avec la grève de la faim», a déploré pour sa part M. Khemiri.
M. Ghannouchi a entamé sa grève de la faim «pour défendre la demande de libération de tous les prisonniers politiques et lever cette injustice à leur encontre», a affirmé le parti Ennahdha dans un communiqué publié vendredi.
«Il a plus de 80 ans. Il est une personnalité qui a la santé de son âge et qui se trouve dans des conditions difficiles d’incarcération», a déclaré M. Chebbi à l’AFP.
«Aujourd’hui, toute personnalité politique ou nationale ayant une pensée indépendante risque la prison pour n’importe quelle raison», a-t-il déploré.
«Les libertés se sont effondrées dans notre pays parce que les institutions ont été cassées, la constitution déchirée, le pouvoir accaparé par une seule personne. C’est le règne de l’arbitraire», a-t-il dénoncé.
M. Chebbi a appelé de nouveau à se mobiliser contre «une menace générale» ciblant, selon lui, les politiciens, les syndicalistes, les blogueurs, les hommes d’affaires, les responsables et fonctionnaires.
M. Ghannouchi a été arrêté en avril après avoir déclaré que la Tunisie serait menacée d’une «guerre civile» si les partis de gauche ou ceux issus de l’islam politique comme le sien, y étaient éliminés.
Le 15 mai, il a été condamné à un an de prison pour «apologie du terrorisme» dans le cadre d’une autre affaire.
Il est le plus célèbre opposant emprisonné depuis le coup de force du président Saied qui s’est arrogé les pleins pouvoirs en juillet 2021.
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RIYAD: L’un des plus anciens clubs de football d’Arabie saoudite s’apprête à célébrer son jubilé de diamant en affrontant l’AS Roma, l’un des clubs emblématiques d’Italie.
Le club saoudien a été fondé à Riyad en 1947 et son nom, «Shabab», signifie «jeunesse» en arabe.
En se basant sur le nom du club et sa longue Histoire, le chef du divertissement saoudien, Turki Alalshikh, a écrit sur X que le «vieux club» marquera son jubilé de diamant en affrontant les Giallorossi lors de la Riyadh Season, un événement majeur du calendrier du divertissement saoudien.
M. Alalshikh n’a pas précisé quand aura lieu le match, pas plus que le club Shabab.
Le club de Riyad a remporté la ligue saoudienne six fois ainsi qu’une demi-douzaine de coupes nationales.
L’AS Roma, qui a connu un début de saison compliqué en Série A avec seulement six points en cinq matchs, a remporté le championnat trois fois et onze fois les compétitions de la ligue.
La prochaine Supercoppa Italiana se jouera en Arabie saoudite le 4 janvier 2024, avec la finale le 8 janvier, et verra l’Inter, le champion en titre, tenter de défendre la coupe face à Naples, la Lazio et la Fiorentina. Les matchs de la Supercoupe se déroulent en Arabie saoudite depuis 2018, à l’exception de deux années en raison des restrictions liées à la pandémie de Covid-19.
Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com

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