«Archipel» du Ballet de l'Opéra de Tunis: Une belle opportunité pour … – Arabnews fr
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Les 16 danseurs du Ballet de l’Opéra, accompagnés de leur directrice artistique, Malek Sebaii, se sont envolés, début mai, à Paris pour l’achèvement de cette pièce chorégraphique qui verra sa consécration sur les planches du théâtre Pflimlin lors d’un cycle de quatre représentations publiques très attendues pour cette première.
«Archipel» de la chorégraphe française Mathilde Monnier est un projet inédit de collaboration entre le Théâtre de l’Opéra de Tunis, le Conservatoire national supérieur de musique et de danse de Paris, avec le soutien de l’Institut français de Tunisie.
Lancé depuis plus de six mois entre Tunis et Paris, «Archipel» s’est construit en quatre temps de création. Après le coup d’envoi du 12 au 19 décembre 2022 à Tunis, le travail s’est poursuivi pour 15 jours consécutifs en janvier avec deux répétitions ouvertes au public tunisien, la dernière étape étant ce mois de mai où le spectacle ira à la rencontre du public parisien avant d’être à Tunis, au rendez-vous des Journées chorégraphiques de Carthage en juin 2023.
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NDLR: Mosaïque est une revue de presse qui offre au lecteur un aperçu sélectif et rapide des sujets phares abordés par des quotidiens et médias de renommée dans le monde arabe. Arab news en français se contente d’une publication très sommaire, renvoyant le lecteur directement vers le lien de l’article original. L’opinion exprimée dans cette page est propre à l’auteur et ne reflète pas nécessairement celle d’Arab News en français.
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Le 16 mai est dans quelques jours. Dans quelques jours, le gouverneur de la Banque centrale Riad Salamé doit comparaître devant la juge française Aude Buresi à Paris dans le cadre de l’enquête sur les accusations de corruption et de blanchiment d’argent. De nombreuses questions sur le grand vol libanais pourraient trouver une réponse ce jour-là. Quoi qu’il en soit, les implications se font déjà sentir à Beyrouth. Mikati a demandé que la question du poste de gouverneur soit réglée par le gouvernement, et Nabih Berri aurait déclaré que “le moment imminent est la nomination d’un gouverneur de la Banque centrale”.
Ils s’apprêtent à tourner une page dangereuse ouverte par les enquêteurs étrangers, après avoir ignoré les accusations de détournement de fonds portées par « Case Authority » au ministère de la Justice, ainsi que sa demande que les biens de Riad Salamé, de son frère Raja et de son adjoint al-Hoayek soit saisi et qu’il soit arrêté et déféré au tribunal correctionnel.
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L’artiste-peintre Mohamed Walid Chemami, d’Oum El Bouaghi, a décroché le prix de la meilleure toile, intitulée La jeune fille et l’emblème, dans le cadre de la 4e édition du Salon national des arts plastiques clôturé mercredi soir à la maison de la culture Moubarak El Mili de Mila, et dédiée au thème «Mémoire de la Révolution».
Le prix du meilleur tableau de l’exposition a été décerné à l’artiste Baghdad Ben Malika de la wilaya de Tiaret pour son œuvre La ligne Challe qui a suscité l’admiration du jury qui a évalué les œuvres du concours. Selon Mohamed Walid Chemami, lauréat du concours, le salon a donné lieu à une saine compétition et permis de juger de la maîtrise des techniques des arts plastiques autour du thème de la mémoire de la glorieuse Révolution et des sacrifices consentis par le peuple algérien pour recouvrer son indépendance. Sadek Amine Khodja, président du jury, artiste, professeur assistant et ancien directeur de l’Ecole des beaux-arts de Constantine, a souligné que les 26 œuvres participant à ce concours étaient d’un niveau «acceptable» voire, pour certaines, «très honorable», ce qui augure d’un avenir prometteur pour l’art plastique.
Amine Khodja a ajouté que les peintures ayant participé à ce salon ont été évaluées en fonction de plusieurs critères, dont la profondeur de l’œuvre, le respect du thème du concours, la maîtrise des techniques d’arts plastiques, le style adopté et l’esthétique de la toile présentée. Dans une déclaration à l’APS, en marge de la cérémonie de clôture du salon, le directeur de la maison de la culture Moubarak El Mili, Abderrezak Bouchenak, a estimé que ce rendez-vous artistique, qui a vu une participation distinguée d’artistes de différentes wilayas du pays, est une «opportunité qui a permis de réconcilier à nouveau le public avec les arts plastiques».
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L’Association pour l’art et la culture et la Fondation de la maison de l’art contemporain Asilah Briech (MAC. A) organisent le 13 mai (17 h) avec le soutien du ministère de la Culture, l’exposition internationale d’art contemporain : MAC. À Expo 2023 : Mashreq et Maghreb. Outre l’exposition d’oeuvres artistiques qui se prolongera jusqu’au 30 septembre 2023, l’événement qui se tient à Briech comprend un colloque sur le thème «La narration dans l’art», une soirée poétique et un instant musical. Cette manifestation sera l’occasion d’aborder les atouts du Maghreb et du Mashreq qui attirent la curiosité des artistes contemporains de l’occident.
Comment est-ce possible de rester indifférent envers la lumière, les couleurs et l’atmosphère qui font objet d’attirance pour l’autre ? Comment notre propre espace géographique et social ne pourrait-il pas être l’objet de la contemporanéité artistique ? Les différences politiques et doctrinales qui irritent les liens entre le Maghreb et le Mashreq ne doivent pas déteindre sur l’art. Plusieurs axes seront discutés par les invités du MAC. A. À six kilomètres d’Asilah, ce haut lieu de la création artistique réunira le temps d’un événement exceptionnel des artistes, chercheurs et penseurs de différents pays.
Dans son grand son grand espace face à l’océan Atlantique, source intarissable d’inspiration, le MAC A invite les participants à cette manifestation internationale à échanger, conter, créer et partager leurs inspirations artistiques. Son architecture moderne et épurée, son emplacement propice à l’évasion et à la création, ainsi que la lumière diffuse dans laquelle il baigne contribuent au succès de ce dialogue culturel pluriel, avec des invités d’Arabie Saoudite, du Koweït, du Qatar, d’Égypte, de Tunisie, de Jordanie, de Sultanat de Oman, d’Irak, de Syrie et du Maroc.
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