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Ferrari promeut sa nouvelle Roma Spider au Maroc – Arabnews fr

https://arab.news/jqzrz
Rabat: Personne n’est à l’abri d’une soudaine envie de voyage. Et la dernière publicité de Ferrari ne manquera pas de réveiller en vous l’envie d’arpenter les côtes marocaines. En effet, la prestigieuse marque italienne a choisi le Maroc comme cadre pour son dernier film publicitaire mettant en vedette la Roma Spider. Dans cette élégante vidéo diffusée jeudi 25 mai, la dernière création de Ferrari est mise en lumière pendant deux minutes.
Le spot, intitulé «The Ferrari Roma Spider in Morocco», nous transporte à travers les paysages côtiers du royaume, dans lesquels le cabriolet se fond harmonieusement, avant de se faufiler dans les ruelles de la médina de Rabat. Cette publicité est une véritable invitation à l’aventure, ponctuée par le rugissement caractéristique des moteurs Ferrari.
They say that opposites attract, and that it’s not just the destination that matters: it’s the journey. Embrace the allure of the #FerrariRomaSpider as #LaNuovaDolceVita unfolds in Morocco.#Ferrari pic.twitter.com/qftwkbXIEh
Le tournage s’est déroulé entre Rabat et Tanger, tandis que l’événement de lancement de la Roma Spider a eu lieu à Marrakech en mars dernier. Rappelons que ce nouveau modèle a été dévoilé le 16 mars dans le cadre idyllique du palais El-Badi, en présence d’un groupe exclusif de clients et d’enthousiastes de la marque.
https://arab.news/m8ece
VIENNE (Autriche): Le ministre saoudien des Finances, Mohammed al-Jadaan, a participé au forum et aux réunions ministérielles du Fonds de l’Opep pour le développement international les 20 et 21 juin afin d’évoquer les divers défis mondiaux auxquels se trouvent confrontés les pays en développement.
Lors du forum de Vienne, les participants ont mis l’accent sur l’évolution actuelle du développement, sur le financement, sur les systèmes alimentaires durables, sur l’innovation climatique pour un avenir durable ainsi que sur les politiques et partenariats qui donnent la priorité aux personnes et à la planète.
M. Al-Jadaan a déclaré: «Les banques multilatérales de développement font partie des principaux moyens pour soutenir le développement durable à l’échelle mondiale en fournissant des solutions multilatérales aux problèmes de développement. Elles ont manifestement fait des efforts extraordinaires pour soutenir les pays à revenu faible et intermédiaire depuis 2020.»
Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com
https://arab.news/bxb28
CASABLANCA: Cette année, trente-quatre mille Marocains participeront au pèlerinage vers La Mecque dans une ambiance empreinte de spiritualité et de fierté. Tout a été prévu pour que ce grand retour des pèlerins marocains après deux années marquées par des restrictions liées à la Covid-19 soit une réussite.
«Je suis très heureux de pouvoir partager ce voyage spirituel avec ma femme. Nous n’avons pas eu la chance de participer au Hajj l’année dernière. Aujourd’hui, c’est chose faite et je ne vous cache pas que j’éprouve une grande joie à l’idée de voir de mes propres yeux la Kaaba et visiter pour la première fois de ma vie les Lieux saints de l’islam. Je suis très ému. C’est un rêve qui se réalise», confie à Arab News en français Ahmed, un retraité de 66 ans qui s’apprêtait, au début du présent mois, à prendre l’avion à l’aéroport Mohammed V de Casablanca pour gagner l’Arabie saoudite.
Comme Ahmed, des milliers de Marocains ont afflué vers l’aéroport de la capitale économique du Maroc depuis le 2 juin. Les 86 vols prévus par l’Office national des aéroports du Maroc (Onda) prendront fin le 24 juin prochain et un important dispositif a été mis en place par les autorités marocaines et saoudiennes afin de faciliter le déplacement des pèlerins marocains.
«Tarik Makka»
Toujours à l’aéroport de Casablanca, qui concentre la moitié des vols prévus, c’est l’ensemble d’un terminal qui a été dédié à cette opération d’envergure. Le terminal 3 a ainsi été aménagé en respectant les consignes de l’initiative intitulée «Tarik Makka», initiée par le ministère saoudien de l’Intérieur, en coordination avec les autorités marocaines.
Tout a été prévu pour faciliter la vie des pèlerins marocains, avec la mobilisation, grâce au ministère de la Santé marocain, de trente-sept médecins pour assurer la couverture sanitaire des pèlerins.
Les autorités saoudiennes ont accompagné les pèlerins marocains dans l’accomplissement de toutes les formalités d’accès au territoire saoudien avant l’embarquement, avec notamment l’acheminement direct des bagages vers les lieux d’hébergement des pèlerins dans les Lieux saints ainsi que leur orientation, dès leur arrivée à l’aéroport de Djeddah ou à celui de Médine, vers des bus qui les mèneront vers leurs hôtels.
Tout a été prévu pour faciliter la vie des pèlerins marocains, avec la mobilisation, grâce au ministère de la Santé marocain, de trente-sept médecins pour assurer la couverture sanitaire des pèlerins. L’objectif est de permettre à ces derniers d’effectuer les rituels du Hajj dans les meilleures conditions.
Préparatifs du Hajj
Rappelons que les préparatifs du Hajj sont suivis de très près par le roi Mohammed VI. Au début de l’opération des départs, le souverain a appelé les pèlerins marocains à être «les dignes ambassadeurs de leur patrie et les porte-étendard de sa civilisation séculaire et de son identité, illustrées par l’attachement aux valeurs d’ouverture et de tolérance». Il leur a demandé de «s’abstenir de toute polémique et de tout motif de discorde».
En outre, le roi a invité les pèlerins marocains, à travers un message qu’il leur a adressé, à se conformer strictement aux mesures organisationnelles adoptées par les autorités saoudiennes, «qui ont veillé à assurer aux hôtes du Seigneur les conditions idéales de quiétude de façon à ce que la saison du pèlerinage puisse se dérouler dans un climat empreint de réactivité, de discipline, de paix et de sécurité conformément aux hautes directives de notre très cher et bienveillant frère, le Serviteur des deux Saintes Mosquées, le roi Salmane ben Abdelaziz, souverain du royaume frère d’Arabie saoudite», a déclaré le roi Mohammed VI.
À cette occasion, le souverain a tenu à exprimer sa profonde considération pour l’Arabie saoudite. Il a vivement salué les relations fraternelles qui unissent les deux royaumes et peuples frères.
 
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NEW YORK: Lorsque l’Assemblée générale des Nations unies a voté ce mois-ci l’adoption d’une résolution désignant le 10 février comme Journée internationale du léopard d’Arabie, la réaction de Thomas S. Kaplan a été la «joie absolue».
Le léopard est gravé dans la conscience saoudienne depuis des milliers d’années. Les pétroglyphes représentant l’animal sur les anciens murs d’AlUla témoignant de son importance pour le peuple saoudien et ses ancêtres, a déclaré Kaplan.
Le fait que l’importance du léopard d’Arabie soit enfin consacrée par l’Assemblée générale des Nations unies est donc «un triomphe majeur pour le peuple saoudien et pour le Royaume d’Arabie saoudite lui-même», a ajouté Kaplan lors d’une interview exclusive accordée à Arab News.
En tant que cofondateur de Panthera, l’organisation mondiale de conservation des chats sauvages, et fondateur et président de l’Alliance mondiale pour les chats sauvages, Kaplan a signé en 2019 un accord avec le prince Badr ben Abdallah, ministre saoudien de la Culture et gouverneur de la Commission royale pour AlUla, afin de soutenir des initiatives de conservation régionales et internationales, au cœur desquelles se trouve l’Initiative pour le léopard d’Arabie, qui vise à protéger cet animal gravement menacé, originaire d’AlUla.
Le prince Badr ben Abdallah ben Farhane, ministre saoudien de la Culture et gouverneur de la Commission royale pour AlUla, signant l’accord de coopération avec le président de Panthera, Thomas Kaplan, à AlUla en juin 2019 (Photo fournie).
«Le léopard d’Arabie est le plus persécuté de tous les grands félins», a prévenu Kaplan. «Le fait qu’un champion comme l’Arabie saoudite nous aide à accomplir le travail que nous faisons avec tant de passion, est un véritable don de Dieu.»
La résolution des Nations unies consacrant une Journée internationale du léopard d’Arabie est «une nette victoire, tant pour le léopard que pour l’Arabie saoudite», a-t-il ajouté.
«C’est à bien des égards une belle affirmation de l’une des initiatives les plus ambitieuses en matière d’environnement et de conservation depuis des générations : La réhabilitation d’AlUla en tant que centre culturel de la nouvelle Arabie saoudite est complétée par l’un des programmes de restauration environnementale les plus importants au monde.»
Les fauves jouent un rôle essentiel dans les écosystèmes. Ils sont considérés comme une «espèce parapluie» lors de la prise de décisions relatives à la conservation, car les efforts visant à les protéger préservent aussi indirectement de nombreuses autres espèces. Ils représentent des «opportunités stratégiques pour les prédateurs du sommet». Cela signifie qu’une population de fauves prospère peut contribuer à assurer la survie de l’ensemble de son habitat.
Même la population humaine peut bénéficier de la prospérité des animaux, car ils contribuent à stimuler le tourisme et à mettre en lumière les communautés locales. Dans le cas de l’Arabie saoudite, ces communautés peuvent devenir des éléments importants du programme de développement plus large du pays, ce qui permet d’améliorer les infrastructures et les opportunités au niveau local.
Selon Thomas Kaplan, président de Panthera, la reconnaissance de l’importance de l’animal par les Nations unies, contribuera à stimuler les efforts des protecteurs de l’environnement pour sauver le léopard (Photo, Avec l’aimable autorisation du studio de photographie Matthew Carasella).
«Dans les endroits où nous sommes intervenus pour sauver des léopards, des jaguars ou d’autres animaux faisant partie de l’industrie touristique locale, nous avons toujours apporté avec nous une attention médicale accrue, la construction d’écoles, de cliniques, indiquant aux communautés locales que non seulement elles n’ont rien à craindre, mais qu’elles ont tout à gagner d’une population féline prospère, et que grâce au léopard, il y aura des opportunités socio-économiques pour leurs enfants», a expliqué Kaplan.
«Si, à sa manière, l’initiative sur le léopard d’Arabie donne non seulement donne aux gens une fierté nationale, mais aussi à ceux qui vivent dans le même habitat des possibilités encore plus grandes pour leurs enfants, alors c’est une grande victoire.
«Le succès de l’initiative sur le léopard d’Arabie devient donc un signal pour l’Arabie saoudite et pour le reste du monde que le pays a réussi à remettre en valeur le paysage de la région. Pour ces raisons, je pense qu’AlUla est l’une des initiatives les plus transformatrices en matière de préservation du patrimoine culturel et environnemental pour les générations futures.»
Rien de tout cela n’aurait été possible, a-t-il signalé, sans «la passion et l’engagement» du prince héritier, Mohammed ben Salmane, du prince Badr et de la princesse Reema bent Salmane, ambassadrice d’Arabie saoudite aux États-Unis.
«La révolution d’en haut, mise en œuvre par le prince héritier, est le catalyseur de toutes les réformes qui ont suivi, et le léopard d’Arabie ne fait pas exception à la règle», a souligné Kaplan.
«J’ai une expérience personnelle de la collaboration avec le prince héritier sur le léopard d’Arabie et la conservation des léopards à l’échelle mondiale. Il s’est vraiment engagé non seulement pour le léopard d’Arabie, mais aussi pour faire avancer la cause de la conservation des léopards dans d’autres pays qui ne sont pas nécessairement en train de rattraper l’Arabie saoudite, mais qui essaient de rester à la pointe du progrès.»
«Soutien total de l’Arabie saoudite»
En ce qui concerne le rôle du prince Badr, Kaplan a affirmé que «tout le monde sait qu’il est l’initiateur du processus de protection du léopard d’Arabie. Il est, à bien des égards, le père du programme du léopard d’Arabie, et je pense qu’il restera dans les livres d’histoire.
Kaplan n’avait également que des éloges à l’égard de la princesse Reema.
La princesse Reema bent Bandar al-Saoud, ambassadrice saoudienne aux États-Unis, a fondé Catmosphere, un groupe dédié au soutien des espèces de grands félins dans le monde (Photo, AN).
«Quiconque ayant été en contact avec la princesse Reema à Washington DC ou ailleurs est immédiatement confronté à la passion que représente le léopard d’Arabie pour l’Arabie saoudite», a-t-il signalé.
«Ce n’est pas simplement parce que le léopard d’Arabie est, dans mon esprit, et il représente pour l’Arabie saoudite ce que représente le panda pour la Chine, un outil de puissance douce, c’est bien plus que cela.
«Le prince héritier, Mohammed ben Salmane, le prince Badr et la princesse Reema comprennent que le léopard d’Arabie est un symbole d’unité nationale pour l’Arabie saoudite. C’est un symbole qui remonte à des milliers d’années.»
La reconnaissance de l’importance de l’animal par les Nations unies, contribuera à stimuler les efforts des protecteurs de l’environnement dans le but de sauver le léopard, a indiqué Kaplan.
«Le fait de pouvoir montrer l’adhésion de la communauté internationale nous donne la liberté de montrer aux protecteurs de l’environnement du monde entier l’importance de cette initiative», a-t-il ajouté.
«Cela nous permet de prouver que la réintroduction du léopard d’Arabie est réelle, qu’elle bénéficie du soutien total de l’Arabie saoudite, qu’il ne s’agit pas d’un exercice de pouvoir mais qu’elle est le fruit d’une passion.
«Cela permet à des personnes comme moi, sur la scène internationale, de pouvoir recruter des experts de la plus haute qualité pour travailler avec nous dans notre domaine.»
Selon Kaplan, la résolution des Nations unies soutiendra également le travail des champions saoudiens de l’environnement et de la faune, notamment Catmosphere, une fondation créée par la princesse Reema pour soutenir les efforts de conservation des grands félins dans le monde entier.
«Catmosphere pourrait devenir le plus important programme de sensibilisation à la conservation des félins jamais entrepris, non seulement au Moyen-Orient, mais dans le monde entier, et c’est une Saoudienne, la princesse Reema, qui en est à l’origine», a-t-il indiqué.
«C’est une histoire extraordinaire. L’impact qu’elle peut avoir sur la conservation des félins est très évident, mais en même temps, l’impact qu’elle peut avoir sur notre programme, qui est d’amener les gens à considérer le léopard d’Arabie comme le panda de l’Arabie saoudite, comme le symbole de l’engagement en faveur des meilleures pratiques en matière de conservation de la faune, est absolument énorme.»
«Lorsque l’on combine le travail effectué par le prince Badr au sein de la commission royale d’AlUla avec celui de Catmosphere, on obtient une initiative et une campagne organiques d’origine saoudienne visant à sauver le léopard d’Arabie et, comme nous l’a demandé le prince héritier, à aider les pays du monde entier à sauver leurs léopards, de sorte qu’au lieu de rattraper leur retard, ils prennent de l’avance et ne se retrouvent pas dans la même situation.
«Cela est un acte de générosité envers le monde, et il vient d’Arabie saoudite», a conclu Kaplan.
Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com

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