L'étau se resserre sur les Filali, faux journalistes, vrais maîtres … – Barlamane
Barlamane
Au rebours des lois fondamentales françaises, les Filali ont amorcé une tentative de chantage machinée pour obtenir un asile qui ne vient pas. Le couple, acculé, sans perspective d’avenir et sans emploi, tente d’intimider la France dans une suprême tentative pour s’y maintenir. Une escroquerie contraire à toute justice et toute raison, qui ne s’appuie que sur la violence verbale et sur le mensonge généralisé.
Adnane et Dounia Filali ont annoncé, vendredi 2 juin, une grève de la faim. Dans un communiqué au vitriol, écrit dans un français approximatif pour ceux qui se disent journalistes professionnels, ils accusent les autorités françaises de «complicité» avec le régime marocain et de «harcèlement perpétuel». Le couple antisémite, en raison des intelligences qu’il entretient au dehors, en particulier avec l’Algérie, est devenu une cause de préoccupation majeure pour Paris, qui veut s’en débarrasser, comme nous l’avions dévoilé dans nos colonnes.
Un communiqué ubuesque, truffé de grossiers mensonges
Les deux faussaires, qui ont longtemps dupé leurs rares sympathisants, sont devenus des hôtes encombrants pour la France. Non seulement ils étalent une conception grossière, grotesque, des droits et des devoirs internationaux, mais ils inventent une farce censée appuyer leur récit. «Récemment, nous avons obtenu des documents très confidentiels prouvant l’intention des autorités françaises (…) de nous persécuter le plus longtemps possible afin de nous nuire et de nous faire taire nos voix sous prétexte de maintenir des relations bilatérales entre les deux pays» : cette fiction est la preuve la plus éclatante que l’extraordinaire duplicité de ce couple ne recule devant aucun mensonge : «réfugiés politiques», «journalistes professionnels», «persécution», etc. Si l’hospitalité impose des devoirs à celui qui la donne, elle en impose de plus grands à celui qui la reçoit. Or, Paris, qui les a reçus à bras ouverts pour les utiliser contre Rabat, est maintenant conscient qu’il abrite sur son sol des escrocs qui n’ont aucune preuve de ce qu’ils avancent, et encore moins le niveau intellectuel requis.
Chantage, escroquerie
Les périls privés et publics évoqués par les Filali sont imaginaires, ainsi que leur prétendue grève de la faim. C’est de toute évidence. Le couple, qui prétend n’avoir «commis d’autre tort que de défendre ses convictions au péril de sa vie», traîne un passif criminel, d’ailleurs documenté, dénoncé. Leur ultime spéculation repose aujourd’hui sur une éventualité plus ou moins calculée, et dont la fin première est d’embarrasser l’État français pour obtenir un asile durable sans conditions ; mais la France pourrait-elle abriter deux malfamés qui veulent avoir le droit de faire tout ce que la loi ne défend pas, et dont l’existence n’est une réunion de tous les délits ? Fraude, escroquerie, vol, diffamation, antisémitisme, etc ?
L’asile peut avoir sa raison d’être quand il sert à protéger la faiblesse contre l’abus de la force. Il perd toute raison d’être s’il n’assure que l’impunité de quelques escrocs notoires.
Et comme on s’y attendait, le communiqué des Filali a été repris par les médias algériens qui leur servent de tribune pour attaquer le Maroc et, comble du désarroi, faire l’éloge du système militaire algérien.
Le recours à l’arme de la grève de la faim ne trompe plus les organisations de défense des droits humains et les médias internationaux, tant son utilisation abusive par de pseudos opposants l’a vidé de sa substance. On se souvient d’Aminatou Haidar et d’Ali Lmrabet qui avaient pris du poids alors qu’ils observaient soi-disant une grève de la faim. On se souvient aussi que Maati Mounjib a été surpris, pendant ses multiples soi-disant grèves de la faim, en train de déjeuner dans un petit restaurant ou en train d’acheter un sandwich. Sans parler de Soulaiman Raissouni qui, sans la moindre gêne, affirme avoir observé une grève de la faim de plus de 120 jours ! Un extraterrestre !
C’est dire que la pseudo grève annoncée par le couple Filali n’aura pas l’impact médiatique escompté.
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