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Biden veut muscler le FMI et la Banque mondiale pour en remontrer … – Arab News FR

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WASHINGTON:  Joe Biden va plaider pour muscler les capacités de financement du Fonds monétaire international et de la Banque mondiale lors du prochain sommet du G20 en Inde, a fait savoir mardi son conseiller à la sécurité nationale, Jake Sullivan.
Lors de cette rencontre, qui se tiendra les 9 et 10 septembre, le président américain veut “vraiment consacrer beaucoup de son énergie à la modernisation des banques de développement multilatérales, y compris la Banque mondiale et le FMI”, a-t-il assuré lors d’un échange avec la presse
“Si l’on tient compte de l’ampleur (des besoins de financement) et, pour le dire franchement, des prêts contraignants et non durables que fait la Chine au travers des +Nouvelles routes de la soie+, nous devons faire en sorte qu’il existe des solutions avec de hautes exigences de qualité et de principes” pour les pays en développement, a déclaré Jake Sullivan.
“L’une des manières d’en avoir pour notre argent est de passer par la Banque mondiale et le FMI”, a ajouté le conseiller. Il a estimé que les propositions américaines concernant ces deux institutions débloqueraient “environ 50 milliards de dollars de prêts pour des pays à revenu intermédiaire et des pays pauvres de la part des seuls Etats-Unis”, et s’attendre “à ce que nos alliés et partenaires contribuent également”, ce qui porterait le montant de financements disponibles à 200 milliards de dollars.
Jake Sullivan a estimé que les deux institutions de Washington, dominées dans les faits par les Américains et les Européens, n’étaient “pas des institutions occidentales”, mais “une alternative positive à la méthode bien plus opaque, bien plus contraignante” de la Chine pour financer des projets de développement.
Le conseiller de Joe Biden a toutefois assuré que le “soutien (des Etats-Unis) à la Banque mondiale et au FMI n'(était) pas dirigé contre la Chine.”
La Maison Blanche a choisi de communiquer sur ses ambitions pour les deux grandes institutions au moment où le sommet des Brics s’ouvre en Afrique du Sud, avec à l’ordre du jour un programme d’élargissement de ce bloc de grands pays émergents, en quête de plus grande influence internationale.
“Nous ne pensons pas que les Brics vont devenir une sorte de rival géopolitique pour les Etats-Unis ou qui que ce soit d’autre”, a lancé le conseiller de Joe Biden.
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JOHANNESBURG, Afrique du Sud : Les dirigeants mondiaux participant au sommet de trois jours des Brics, qui se tient cette semaine à Johannesburg, en Afrique du Sud, se sont penchés sur l’avenir de l’économie mondiale dans un monde de plus en plus multipolaire.
Les dirigeants des pays Brics (le Brésil, la Russie, l’Inde, la Chine et l’Afrique du Sud) discuteront du commerce, des investissements, des infrastructures, du changement climatique et de la dédollarisation lors du 15e sommet annuel, qui se tiendra du 22 au 24 août en Afrique du Sud, pays qui en est le président cette année.
Xi Jinping, le président chinois, a été accueilli par son hôte sud-africain, le président Cyril Ramaphosa, tout comme le Premier ministre indien, Narendra Modi, et le président brésilien, Luiz Inacio Lula da Silva. Le président russe, Vladimir Poutine, a rejoint le sommet par liaison vidéo.
Le ministre saoudien des Affaires étrangères, le prince Faisal ben Farhane, dirige la délégation d’Arabie saoudite qui participe aux dialogues Brics Plus et au Brics Afrique au nom du prince héritier, Mohammed ben Salmane.
La délégation saoudienne comprend le vice-ministre des Affaires multilatérales internationales, Abdel Rahmane al-Rassi, le directeur général du bureau du ministre des Affaires étrangères, Abdel Rahmane al-Daoud, et le directeur général des organisations internationales, Chahir AlKhonaini.
Turbulences économiques
Les pays Brics sont tous unis par leur potentiel économique commun et leur désir de jouer un rôle plus important dans l’économie mondiale. Ils sont également unis par leurs défis communs, tels que la pauvreté, l’inégalité et le changement climatique.
Représentant 40% de la population mondiale et composés d’économies ayant des niveaux de croissance variables, les Brics partagent le même désir d’un ordre mondial qu’ils considèrent comme reflétant mieux leurs intérêts et leur influence croissante.
«Alors que nous célébrons le 15e anniversaire des Brics, les échanges commerciaux entre ces pays ont totalisé 162 milliards de dollars l’année dernière», a déclaré Ramaphosa aux dirigeants réunis lors de la première journée du sommet.
«Les investissements étrangers ont joué un rôle important dans l’économie des Brics. Nous devons réaffirmer notre position selon laquelle la croissance économique doit être soutenue par la transparence et l’inclusion. Elle doit être comparable au système commercial multilatéral qui soutient un programme de développement.»
En effet, la vitesse et l’ampleur du développement économique de plusieurs de ces pays sont telles que les analystes estiment que les gouvernements occidentaux ne peuvent pas leur refuser une plus grande influence sur la gestion de l’ordre financier et politique mondial.
S’exprimant lors du dialogue des dirigeants du Forum des affaires des Brics à Johannesburg mardi, le Premier ministre indien, Modi, a souligné ce qu’il a décrit comme les réalisations économiques de son pays et son potentiel à devenir un moteur de la croissance mondiale.
«Malgré les turbulences de la situation économique mondiale, l’Inde est l’économie majeure qui connaît la croissance la plus rapide au monde», a déclaré Modi aux délégués du forum. «Bientôt, l’Inde sera une économie de 5 000 milliards de dollars (1 dollar américain = 0,92 euro). Il ne fait aucun doute que l’Inde sera le moteur de croissance du monde.»
L’une des questions clés qui devrait être débattue lors du sommet de cette année est la possibilité d’élargir le bloc des Brics à de nouveaux membres.
La Chine, la Russie et l’Afrique du Sud sont favorables à cette expansion afin de transformer le club des principales économies émergentes en un contrepoids à l’Occident et à ses institutions, tandis que le Brésil et l’Inde se montrent plus sceptiques.
Dans une émission diffusée sur les réseaux sociaux depuis Johannesburg mardi, le président brésilien, Lula, a déclaré que le bloc des Brics visait à organiser le Sud mondial en développement, et non à rivaliser avec les États-Unis, le G7 ou le G20.
Lula a néanmoins approuvé l’admission de nouveaux membres, dont l’Argentine, autre économie latino-américaine.
Dans son discours au forum des entreprises, Lula a souligné l’énorme potentiel inexploité du continent africain. «Cinquante-quatre pays, 1,3 milliard d’habitants et plus de 3 000 milliards de dollars de PIB sur ce continent», a déclaré Lula, soulignant les «innombrables» possibilités de coopération avec le Brésil.
Former un bloc uni
Près de 40 pays ont manifesté leur intérêt pour rejoindre le bloc, qui a débuté en 2009 avec quatre nations, mais qui s’est élargi l’année suivante pour inclure l’Afrique du Sud.
Parmi ces nouveaux membres potentiels figurent l’Arabie saoudite, l’Égypte, l’Indonésie, le Pakistan, les Émirats arabes unis et la Turquie. Selon les autorités, une cinquantaine de chefs d’État et de gouvernement participeront au sommet de cette semaine.
Les pays qui souhaitent adhérer à l’UE sont tous des économies émergentes majeures dont l’influence mondiale ne cesse de croître. Ils sont également tous situés dans le «Global South», terme qui désigne les pays d’Afrique, d’Asie et d’Amérique latine.
S’adressant au sommet mardi, le président russe, Vladimir Poutine, a déclaré que les pays des Brics parlaient au nom de la «majorité mondiale».
«Nous coopérons sur la base des principes d’égalité, de soutien au partenariat et de respect mutuel, et c’est là l’essence même de l’orientation stratégique future de notre association, une orientation qui répond aux aspirations de la majeure partie de la communauté mondiale, ce que l’on appelle la majorité mondiale», a-t-il déclaré.
Si les Brics décident de s’étendre, cela pourrait entraîner un changement majeur dans le paysage politique et économique mondial, remettant en cause la prééminence des États-Unis et de l’Europe dans les affaires mondiales qui prévaut depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale.
Toutefois, certains défis doivent être relevés avant que les Brics puissent s’étendre.
Les analystes estiment que pour réussir, les Brics devront s’assurer que tous les membres s’engagent à atteindre les mêmes buts et objectifs, éviter de créer un bloc perçu comme un rival de l’Occident et veiller à ce que l’expansion ne dilue pas l’influence des membres existants.
La possibilité de dédollariser l’économie mondiale est une autre question qui sera probablement abordée lors du sommet. Il s’agit de l’idée de s’éloigner du dollar américain en tant que monnaie dominante dans le commerce et la finance internationaux.
La dédollarisation a suscité un intérêt croissant ces dernières années, certains pays s’inquiétant de la capacité du gouvernement américain à leur imposer des sanctions. La Chine et le Brésil ont récemment décidé de gérer leurs relations commerciales dans leur propre monnaie.
Cependant, la dédollarisation est une question complexe et difficile. Elle nécessiterait un changement important du système financier mondial, et il n’est pas certain qu’elle soit réellement réalisable. Néanmoins, ce dialogue pourrait à lui seul marquer un changement radical dans l’équilibre des pouvoirs au niveau mondial.
Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com
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WASHINGTON: Les Etats-Unis ont imposé mardi des sanctions contre des responsables chinois menant une politique d'”assimilation forcée” d’enfants tibétains, dont plus d’un million ont été séparés de leur famille selon des experts de l’ONU.
Le chef de la diplomatie américaine Antony Blinken a annoncé que son pays n’accorderait plus de visa aux dirigeants chinois responsables du système de pensionnats où sont envoyés de force des jeunes Tibétains séparés de leurs familles.
Cette décision s’inscrit dans une série de mesures visant la Chine prises par les Etats-Unis, malgré la reprise récente du dialogue entre hauts représentants de ces deux puissances.
Les politiques menées par Pékin “visent à éliminer les traditions linguistiques, culturelles et religieuses propres au Tibet parmi les jeunes générations de Tibétains”, a assuré M. Blinken dans un communiqué.
“Nous exhortons les autorités chinoises à cesser d’envoyer de force des enfants tibétains dans des pensionnats dirigés par l’Etat et de mettre fin aux politiques d’assimilation forcée au Tibet et dans d’autres parties de la Chine”, a-t-il ajouté.
Cette décision va “sérieusement saper les relations” entre les Etats-Unis et la Chine, a regretté Liu Pengyu, porte-parole de l’ambassade chinoise à Washington.
Pensionnats
Depuis 2021, les Etats-Unis accusent la Chine de “génocide” à l’encontre des Ouïghours dans le Xinjiang, au nord-ouest du pays. Les autorités américaines, ainsi que des témoins et des organismes de défense des droits de l’homme, affirment que de nombreux membres de cette minorité sont soumis à du travail forcé et internés dans des camps.
L’interdiction de visa imposée mardi s’appliquera aux anciens et actuels responsables impliqués dans la politique chinoise au Tibet, a indiqué un porte-parole du département d’Etat, sans donner davantage de détails.
Dans son communiqué, Antony Blinken cite le travail de rapporteurs spéciaux de l’ONU, qui ont conclu en février qu’environ un million d’enfants tibétains avaient été séparés de leurs familles et assimilés de force dans des pensionnats.
Ce programme semble conçu pour intégrer de force les jeunes tibétains à la culture majoritaire Han, selon ces experts. Dans les pensionnats, ils sont contraints de suivre un enseignement en chinois mandarin, et n’étudient pas la langue, l’histoire et la culture tibétaines.
La Campagne internationale pour le Tibet, association proche du Dalaï Lama, chef spirituel et religieux, a applaudi les sanctions américaines contre la séparation “inconcevable” de familles.
La politique des pensionnats vise à “transformer les Tibétains en Chinois” pour “renforcer le contrôle du gouvernement chinois sur le Tibet”, a déclaré la présidente du groupe, Tencho Gyatso.
En avril, d’autres experts de l’ONU ont accusé la Chine d’obliger des centaines de milliers de Tibétains à suivre des programmes de “formation professionnelle” qui menacent l’identité tibétaine et pourraient conduire à du travail forcé.
Le ministre chinois des Affaires étrangères avait affirmé que ce rapport était “sans aucun fondement”.
Le Tibet est administré d’une main de fer par la Chine depuis les années 1950. Nombre de Tibétains en exil l’accusent de mesures répressives et de tortures et assurent qu’elle cherche à effacer leur culture.
https://arab.news/9pma7
JOHANNESBURG: Les jours de la domination du dollar américain sur le commerce entre les pays des Brics sont comptés, a déclaré mardi le président russe, Vladimir Poutine.
Poutine a indiqué lors du sommet du bloc que les membres discuteraient de l’abandon du dollar au profit des monnaies nationales et que la nouvelle banque de développement des Brics serait appelée à jouer un rôle clé.
«Le processus irréversible de dédollarisation de nos relations économiques prend de l’ampleur», a-t-il affirmé.
La sécurité a été renforcée à travers Johannesburg, où le président d’Afrique du Sud, Cyril Ramaphosa, accueille le président chinois, Xi Jinping, le Premier ministre indien, Narendra Modi, le président brésilien, Luiz Inacio Lula da Silva, et une cinquantaine d’autres dirigeants.
Le ministre saoudien des Affaires étrangères, le prince Faisal ben Farhane, préside la délégation d’Arabie saoudite au sommet. Le bloc des grandes économies émergentes cherche à faire entendre sa voix en tant que contrepoids à l’ordre international dirigé par l’Occident. Les membres des Brics (le Brésil, la Russie, l’Inde, la Chine et l’Afrique du Sud) représentent plus de 40% de la population mondiale.
Poutine, incapable d’assister en personne en raison d’un mandat d’arrêt de la Cour pénale internationale, s’est adressé aux participants par vidéo. Il a indiqué que le bloc était sur la bonne voie pour répondre aux aspirations de la majeure partie de la population mondiale.
«Nous coopérons sur la base des principes d’égalité, de soutien au partenariat et de respect des intérêts de chacun. C’est là l’essence même de l’orientation stratégique future de notre association, une orientation qui répond aux aspirations de la majeure partie de la communauté mondiale, la soi-disant majorité mondiale», a-t-il précisé.
Urgences émergentes
Malgré le rejet du dollar par Poutine, le président brésilien, Lula da Silva, a précisé qu’une monnaie commerciale commune des Brics viserait uniquement à faciliter les échanges entre les pays émergents. «Nous ne voulons pas être une opposition au G7, au G20 ou aux États-Unis, a déclaré Lula. Nous souhaitons simplement nous organiser.»
Lula a également exprimé son soutien à l’adhésion d’autres pays à l’alliance, citant l’Indonésie comme nouveau membre potentiel.
Au cours de ce sommet de trois jours, des appels seront lancés en faveur d’une coopération économique accrue et d’une collaboration dans des domaines tels que la santé, l’éducation et le changement climatique, mais avec un sentiment croissant que le monde en développement n’est pas suffisamment représenté au sein des institutions dirigées par l’Occident.
Le président sud-africain, Cyril Ramaphosa, s’est entretenu séparément avec Xi à Pretoria et a déclaré qu’il recherchait «le soutien de la Chine à l’Afrique du Sud et à l’appel de l’Afrique en faveur de la réforme des institutions de gouvernance mondiale, notamment le Conseil de sécurité de l’ONU».
Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com

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