Comment le dirham s'adapte aux besoins des Marocains de l … – Jeune Afrique
Un cambiste compte des dirhams dans un bureau de change à Rabat. © REUTERS/Youssef Boudlal
Au Maroc, c’est peu dire que les transferts d’argent vers l’étranger sont réglementés. Étudiants internationaux, touristes, hommes d’affaires, Marocains de la diaspora… Tous ont été confrontés, à un moment donné, à la politique stricte qui encadre les sorties de devises marocaines hors du pays.
Car à l’inverse de l’euro ou du dollar, et par crainte d’une pénurie, le dirham n’est pas une monnaie librement convertible. Cependant, une incontestable dynamique de libéralisation esquissée dans les années 1980 est à l’œuvre, pour faciliter son intégration à l’économie mondiale.
Découvrez le dernier numéro de Jeune Afrique.
Déjà abonné(e) ? Lire votre magazine
Face aux forces coloniales, du Maroc à l’Afrique du Sud, en passant par Haïti, l’Algérie ou le Ghana, les Africains du continent et de la diaspora ont souvent su profiter du sentiment de supériorité des Européens. Et écrire avec bravoure des pages parmi les plus glorieuses de l’histoire des résistances militaires.
Analyse, débats, expertises… Pour comprendre l'Afrique de demain et d'aujourd'hui
Retrouvez Jeune Afrique sur les réseaux !
© Jeune Afrique 2023, tous droits réservés
Téléchargez gratuitement Jeune Afrique, l'appli 100% Afrique accessible 24h/24h et 7 jours sur 7.